Tabiou Taffa : Voleur de père en fils…

0

Si tous les Tabiou ne sont pas des voleurs, il y’a deux qui ont déjà volé aux yeux des bassari et du peuple togolais. Pour ceux qui connaissent la grande famille des Tabiou, ils peuvent aussi reconnaître qu’ils ont détenu la chefferie pour un temps avant d’être évincé par le chef Bassabi, lequel chef se donnera une balle dans la tête en pleine préparation de la fête traditionnelle D’pontr. Bassar depuis ne vit que par une régence.
Il faut le dire Faure et haut. Depuis la nomination de Tabiou Taffa comme personnage clé de la CENI, curieusement les moqueries fusaient de chez les Tabiou.On n’a entendu dire de la bouche des Tabiou et des habitants de Wadandé (quartier populeux et des Tabiou au centre ville de Bassar): Le Togo est-il tombé aussi si bas !

Effectivement,ces habitants de ce quartier populaire de la ville de Bassar n’ont pas tord. Ils ont été témoins de tous les coups de jarrets des Tabiou ( à faire la différence de ces Tabiou qui sont restés pauvres et dignes).
Grande, la famille Tabiou l’est. De cette famille on n’a connu un peu de tout. Des plus belles filles de la ville de Bassar jusqu’au plus voleurs. La beauté des filles de ce quartier est aussi leur déchéance. Sur 10 filles Tabiou, une est au foyer. Une anecdote raconte comment une de leur tante aurait maudit la famille.

Papa Tabiou Taffa

Maître coranique reconnu il y’a des dizaines d’année à Bassar, l’homme va entencher sa vie par une histoire qui a retenu le souffle d’une ville. Un beau matin un voisin viendra se plaindre auprès du maître coranique que dans son cheptel, il y’a manque d’un bélier. La ville de Bassar longtemps reconnue comme « ville police » parce que l’on pouvait garder ses ignames en plein marché et les retrouver le lendemain venait de découvrir ces enfants vils. Tabiou est sommé de reconnaître d’avoir volé. En pays Bassar tout un symbole ! Depuis, le poids de ceux qui ont été entaché  par cette honte ubuesque s’est considérablement effrité.

Tabiou Taffa : La rose Croix et moi…

On le connaît comme un maître rosicrucien. Bien que musulman il fait baptiser tous ces enfants comme chrétiens et lui même gère les rites maçonniques. Méchant, il l’est. En témoigne les conditions dans lesquelles il a maté  ses cousins (Adams, et Boukari) qui ont eu la malchance de passer par lui pour le reste de leurs études. Tabiou Taffa quand il est en Europe n’a pas le bonjour ni de l’un ni de l’autre.Signe des temps,le Togo havre de paix et des droits de l’homme, Tabiou Taffa à sa fille qui a aussi demandée l’asile politique en Allemagne comme une une persécutée du régime RPT. La moralité, Taffa Tabiou n’en connaît pas. Il se rapporte qu’il aurait dit : « Dans ce monde compte seulement mes enfants, les enfants d’autrui ne sont rien ! »

Quand son frère Tabiou Souleymane alias « ELF » part pour un pèlerinage à la Mecque, c’est dans cette ville Sainte qu’on l’annonce que son dossier encore chez le procureur va désormais se retrouver dans les mains du juge. Le dossier est depuis longtemps de nouveau renvoyé dans les archives et le rendez-vous pour s’expliquer sur les malversations renvoyer aux calendes grecques.C’est le Togo et sa réforme judiciaire. Ceux qui l’ont connu à Sokodé comme proviseur ont encore en mémoire sa barbarie.Le seul proviseur à régler tout par les gifles. A la maison, il se rapporte que quand la femme de Taffa tousse, monsieur tremblote.

Chanceux, Taffa l’est. En témoigne son cursus. Une simple licence en géographie. Par quelle magie ? D’autres togolais bien méritants, n’ont pas aussi gravient les échelons comme il a connu tout au long de sa carrière. De censeur, proviseur, attaché au ministère de l’enseignement, Taffa a aussi tranché comme arbitre dans la vie du peuple togolais.Un arbitre qui n’avait ni sifflet, ni moral malheureusement. Et que sert la moralité pour un Tabiou Taffa quand celui-ci se lie à son élève Pascal Bodjona à qui on reproche d’avoir triché dans sa vie d’étudiant ? C’est aussi ici l’échec de la classe politique et de l’opposition toute entière : le fait de ne pas connaître les citoyens de la République. Dans des pays sérieux, on n’aurait pas pris un passionné de la bière et des petites filles pour trancher sur l’avenir d’un pays. On aurait pas choisit un petit Monsieur dont la famille doute de son honnêteté,et le peuple de son patriotisme…

Hier c’est le père qui faisait  main basse sur un bélier d’un pauvre habitant de Bassar. Aujourd’hui c’est le fils qui a récidivé en mettant les bulletins de vote de tout un peuple dans le camps qui n’a pas mérité…

Bamba Ahmed  Lynx.info

Partager

Laisser une réponse