Le Financial Times invite à utiliser la crise Ukrainienne pour renverser Poutine

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Lyndon LaRouche a mis en garde, dès le départ, contre l’insurrection nazie dirigée par les Britanniques en Ukraine mais qui est en réalité dirigée contre la Russie et qui fait partie d’un plan de guerre thermonucléaire. Un éditorial du Financial Times du 3 février dernier le reconnaît tout-à-fait.

Intitulé « L’Ukraine se trouve face à un moment de vérité », l’article commence par dire que la crise en Ukraine est « entrée maintenant dans une phase décisive ». Il soutient que « Ianoukovitch représente aujourd’hui une force dépassée » et, afin de parer à un éventuel durcissement des réponses de son gouvernement, « Washington et Bruxelles doivent dresser une liste de restrictions de voyager et de sanctions financières qui seraient imposées aux dirigeants du pays s’il venaient à faire preuve d’une telle brutalité. (…) Deuxièmement, l’Occident doit être immédiatement prêt à fournir une aide financière à l’Ukraine si un nouveau gouvernement arrivait au pouvoir et cherchait à renouer des liens avec l’UE », pour ensuite ajouter, comme si cela pouvait être pris au sérieux, que le FMI « devrait être prêt à injecter plusieurs milliards de dollars dans l’économie Ukrainienne afin de stabiliser instantanément la situation financière du pays ».

Faisant preuve d’une insouciance sans borne (à moins qu’une guerre thermonucléaire de dépopulation globale ne soit bel et bien l’objectif final visé), le Financial Times déclare qu’ « une réponse militaire de la part du Kremlin est inconcevable », puis termine avec cette phrase coup de poing : « Si les Ukrainiens font tomber l’homme de Kiev, les Russes pourraient se demander pourquoi ils ne devraient pas faire de même avec l’homme du Kremlin. »

IRIB

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