Grande trouille au Pentagone : La Russie peut pulvériser ses armées

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« La Russie ne plaisante pas. Jamais avant nous n’avons vu pareille chose. Les USA devraient peut-être faire marche arrière. »

Douglas Macgregor, colonel à la retraite de l’US Army, a fait dernièrement une observation étonnante, dont l’onde de choc s’est manifestement répercutée à travers tout le monde politique : La Russie est plus puissante que nous ne le pensions.

Politico Magazine a rapporté que Poutine

avait suscité un intense débat au sein du Pentagone, à propos de la réaction appropriée envers le nouveau profil pas-si-sympathique-que-ça du Kremlin – et sur l’avenir de l’US Army. Et le débat s’étant à présent propagé au Capitole, tard cette semaine, la Commission sénatoriale sur les services armés tiendra une audition sur le même souci. [1]

Macgregor a déclaré que l’armée russe, pourtant plus riquiqui que l’US Army, a la capacité d’écrabouiller ses troufions. Pour Macgregor, la situation n’est pas bonne du tout :

Même si vous portez l’armée à 600.000 dans sa forme actuelle … elle ne gagnera jamais. Voilà le problème et, en passant, l’armée le sait très bien.

Poursuivant, Macgregor a dit que les véhicules de combat blindés « Stryker » en République tchèque fin septembre, « ne tromperont personne à Moscou ». [2] Dans l’US Army, les armes sont « obsolètes », les hauts responsables sont « intéressés », et les dépenses sont du « gaspillage ». [3]

Gardez à l’esprit que Macgregor n’est pas une espèce de spéculateur dans les nuages, pondant des élucubrations sur ce dont il n’a pas la moindre idée. Il a eu un doctorat en relations internationales de West Point et a été qualifié d’« homme brillant ». [4] Selon Politico, Macgregor

a dirigé le 2e « Escadron Cougar » dans la bataille la plus connue de l’opération Desert Storm en février 1991. En 23 minutes, ses forces ont détruit une brigade blindée irakienne entière (près de 70 véhicules blindés), avec une seule victime US…

 « Cependant, à la suite de la bataille, Macgregor a supposé que si son unité avait dû combattre un ennemi très bien formé et mieux armé, par exemple les Russes, le résultat n’aurait pas été le même. » [5]

 S’il arrivait que les USA s’embarquent dans une confrontation avec la Russie, a dit Macgregor, les USA en seront victime. « Vaincu est un euphémisme inadéquat, » a-t-il ajouté. « Le mot juste est plutôt pulvérisé. » [6]

La situation ne peut certes pas être bonne pour les agents du Nouvel ordre mondial (NOM), puisqu’ils ont déjà dit oui à la mort et non à la vie en Syrie et ailleurs. Ils ont soutenu des groupes terroristes tels que les rebelles syriens, ISIS, Al-Nusra, et d’autres.

Voici à présent l’info révoltante : Former un seul rebelle syrien coûte 2 millions de dollars ! [7] Donc, supposons que pour le compte d’Israël, nous ayons 800.000 rebelles/terroristes faisant la danse du scalp autour de la Syrie comme des poules mouillées. Prenez votre calculette et faites le simple calcul. Quand vous aurez terminé, posez-vous cette question : Qui va payer la facture ?

Il y a pire. Le magazine USA Today a récemment admis que la formation des terroristes syriens « produit des résultats lamentables » [8]. Tout l’argent du contribuable est jeté ainsi dans les chiottes politiques parce que les agents du NOM dictent aux USA ce qu’ils doivent faire. Cela n’est pas tout : « Les alliés des USA, renforcent l’aide aux rebelles en Syrie. » [9]

Comprenez-vous pourquoi les Étasuniens honnêtes doivent accorder un certain crédit à un Poutine qui instille la frousse de Dieu dans le NOM ? Voyez-vous pourquoi nous devons tous chasser les agents du NOM qui ne cessent de mettre sur le dos de Poutine les désastres qu’ils ont eux-mêmes déclenchés ? [10]

Voyez-vous pourquoi des politiciens comme l’autrichienne Susanne Winter commencent à reconnaître que les agents du NOM créent vraiment « un problème mondial » ? [11] Comprenez-vous pourquoi les Étasuniens devraient détrôner les politiciens abrutis, comme Jeb Bush qui ment à propos de ces questions ? [12 ] Comprenez-vous pourquoi des républicains, comme E. Michael Jones, ont dit récemment

qu’ils s’étaient couverts de honte en devenant des supplétifs entièrement à la solde du lobby israélien, qui avait affecté 150 millions de dollars pour faire capoter l’accord avec l’Iran du régime Obama. [13]

Dieu merci, il y a des gens qui parlent du désastre actuel. Bien qu’ils n’aient pas entièrement raison sur tout, nous devrions écouter ce qu’ils disent. En fait, je me suis particulièrement réjoui en observant comment Ken O’Keefe a pris la main dans le sac des néocons juifs, comme Daniel Pipes. Lors d’un débat houleux, O’Keefe a dit que Pipes souffre

de ce même mal qui envahit apparemment la société occidentale, de cette maladie qui attribue une grande valeur à la vie israélienne et n’en accorde pratiquement aucune à la vie palestinienne, arabe ou musulmane. C’est une chose répugnante. C’est la réalité pervertie de la fameuse civilisation de l’Ouest, et elle nous fait honte à tous.

En cuisinant les mots tels que « maladie » ou « pervertie » au sein de l’équation politique, O’Keefe ramène implicitement la question morale, qui est toujours au cœur du conflit entre Israël et Palestine. Quand les principes moraux disent oui, les agents du NOM comme Pipes, disent non.

O’Keefe peut ne pas savoir que cette « maladie » est aussi gravée dans un texte religieux appelé Talmud, que des gens comme Pipes ont absorbé consciemment ou inconsciemment au cours des siècles. Ces écrits religieux, que Netanyahu a récemment adoptés dans l’idéologie politique et le « système juridique » de la nation, ont fini par inspirer les fondements politiques et idéologiques d’Israël. [14]

Mort aux gentils
Mort aux gentils
« Mort aux neuneus » (implicitement le Juif est toujours intelligent et méchant)

Ces écrits idéologiques incitent les rabbins, comme Ovadia Yosef, à raconter que les Goyim sont des ânes. Comme l’a fait remarquer Civiltà Cattolica en 1890, le Talmud place les gens comme Pipes au-dessus et au-delà des principes moraux et de l’ordre politique :

Le Juif qui viole et tue une non-juive doit être absous au tribunal, puisqu’il a fait du mal à « une jument ». Selon le traité sur l’homicide de Maïmonide, considéré infaillible dans les ghettos, l’Israélite qui tue un goy ou un non-juif ne peut être puni. [15]

Comme ça, quand un zigoto de l’espèce de Pipes se pavanera sur une estrade et commencera à parler de « massacre israélien », vous saurez d’où il tire son inspiration.

Références

 [1] Dispute sur la Russie à l’intérieur du Pentagone :

 Veterans Today, Jonas E. Alexis

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