Côte d’Ivoire: Ouattara et son pays percé !

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 Ce n’est pas le titre d’une fable. C’est l’histoire d’un imposteur maudit qui expérimente l’adage qui dit : » bien mal acquis ne profite jamais ». Et pour lui, ce n’est que le début d’une fin tragique qui a déjà commencé.
 
Je vous l’ai déjà dit et je voudrais encore le répéter, il y a deux Côte d’Ivoire désormais. La Côte d’Ivoire télévisuelle, virtuelle et théâtrale, ce pays percé comme un tonneau percé dont toutes les richesses fuient vers la France et ses alliés et, la Côte d’Ivoire réelle, celle des Ivoiriens.
 
Nous savons tous que la Côte d’Ivoire qui loge dans la boue de l’Imposture n’est pas notre Côte d’Ivoire, elle n’est pas la Côte d’Ivoire de l’Afrique. Car la Côte d’Ivoire vraie, pays béni de Dieu, aux richesses incommensurables ne mendie pas pour vivre. Même essorée, vidée de sa substance, bradée, bombardée, elle reste debout et digne.
 
Or, l’autre Côte d’Ivoire virtuelle, télévisuelle, celle du Moro Naba, est un vaste champ de ruine troué de toute part, un tonneau percé que le Moro Naba est condamné à remplir désespérément.
 
Parce que ce pays percé par la haine qu’il y a semée, par les coups de canons qu’il y a commandités, par l’humiliation qu’il y a instaurée et par la braderie des richesses nationales qu’il y a érigée en modèle économique, ne lui apportera que déshonneur et une fin tragique qui a commencé depuis quelque temps déjà.
 
Souvenez-vous de ces jours noirs qui ont précédé le 11 avril 2011. Souvenez-vous des jours sombres qui ont précédé sa prestation de serment d’Illuminati à Yamoussoukro. Souvenez-vous de la mort qui a envahi le pays à la veille du 7 août 2011. Souvenez-vous des massacres qui ont cours à Taï. Ouvrez les yeux et préparez-vous à encaisser le plus gros choc de l’histoire de la Côte d’Ivoire.
 
Comme le miel, la Colère qui va s’abattre de mains d’hommes commanditées par cette Main divine, les attire encore et encore. Contingents sur contingents, l’Armée française arrive et déjà des navires porte-avions mouilleraient dans les eaux ivoiriennes en gardant une bonne distance pour ne pas être vus des habitants des côtes ivoiriennes.
 
Pendant ce temps, le maudit fils du mal est officiellement condamné à mendier matin, midi, soir, nuit et jour pour payer quelques unes des charges de l’Etat alors que son avion acheté à crédit survole tout ce temps, des richesses dont il n’a aucune idée de comment en faire une exploitation enrichissante pour le pays qu’il prétend être le sien.
 
Désormais et comme depuis toujours, pour lui et ses hommes de main, il faut faire diversion, puis mentir, et courir, puis mentir et encore courir, partout et nulle part, désespérément pour donner l’impression que le Monde entier est à leur écoute et en train de se mobiliser pour venir fermer les gros trous béants que l’Imposture a créés afin qu’un jour, sorte de terre, un château de glace.
 
Au fait, cette Côte d’Ivoire fausse, percée comme le tonneau percé des Danaïdes et attachée au pied du Moro Naba, est un butin empoisonné, un projet maudit, qui a fini par se découvrir comme étant une pure vanité, sans lendemain.
 
Car en effet, Ouattara ne s’en sortira jamais ! Il ne pourra rien apporter à ce beau pays dans lequel il a forcé un destin d’imposture qui a viré brutalement à la malédiction pour lui-même et pour tous ceux qui ont cru en lui.
 
Je le dis et répète, Ouattara n’aura pas l’argent qu’il cherche à crédit pour surendetter le pays et le condamner à un destin de Pays à jamais Pauvre et très endetté. Il n’aura n’ont plus la collaboration de cadres compétents pour le sortir du trou qu’il a lui-même fait creuser contre Laurent GBAGBO ou Konan Bédié. Il n’aura non plus encore l’inspiration qu’ont les chefs choisis par Dieu pour bâtir. Il ne voguera que de confusion en confusion.
 
Il ne pourra que tuer. Il ne pourra que verser le sang. Il ne pourra que mentir et inventer les subterfuges et voyages inutiles à longueur de mois. De lui, rien de bon ne sortira, pour la Côte d’Ivoire réelle.  
 
Car le pays faux, virtuel, mensonger qu’il traîne comme un boulet attaché à sa cheville, est percé comme un fut et le restera jusqu’à ce que la délivrance arrive et que la restauration s’ensuive.
 
 
A très bientôt.
                                      
Hassane Magued

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