Côte d’Ivoire : HRW prépare le génocide des Wè et l’occupation définitive des terres de l’Ouest !

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Human Rights Watch (HRW) n’est pas une ONG qui défend des droits humains. Elle est un instrument de propagande au service du fascisme occidental. En Côte d’Ivoire, Human Rights Watch a été financée pour aider à parachever un projet d’invasion et de pillage. Cette organisation présentée comme étant une ONG est une organisation terroriste à col blanc. Voici les preuves.

 

 

Les actions de Human Rights Watch tournent autour de l’OTAN et des multinationales issues des pays membres de l’OTAN. Pour chaque projet conduit par ces multinationales ou un des pays membres de l’OTAN contre un peuple, Human Rights Watch reçoit le financement nécessaire pour  conduire des actions d’espionnage mais aussi et surtout, pour prendre en mains, la dimension idéologique tout comme la manipulation de l’opinion.

En Côte d’Ivoire, Human Rights Watch a reçu la somme de 100 millions de dollars pour déformer la réalité, manipuler les faits et semer la confusion dans l’esprit des observateurs de la crise ivoirienne.

Nous sommes en 2010. A la veille des élections présidentielles, Georges Soros (un homme d’affaire au service du nouvel ordre mondial) offre un avion à Dramane Ouattara. L’avion est tatoué ADO-Solution. Le monde entier a vu Ouattara pavaner en Afrique à bord de cet avion. Dans le même temps, le même Georges Soros offre la bagatelle de 100 millions de dollars (un peu plus de 50 milliards de francs CFA) à Human Rights Wtach. L’organisation affirme après coup que c’est cette manne financière qui lui a permis de couvrir la crise ivoirienne.

Est-ce que vous comprenez ce que je comprends ?

Un avion ; la somme de 100 millions de dollars. Objectif : gérer la crise ivoirienne. Mais en 2010, il n’y avait aucune crise ivoirienne. Il y avait une élection en préparation. C’est en fin d’année, après le 28 novembre qu’un contentieux électoral est né. Là encore, c’est dans l’ordre normal des choses. Toute élection a une dimension contentieuse. Mais Human Rights Wtach qui n’est pas une association spécialisée dans l’organisation des élections a déjà reçu des moyens extravagants pour gérer la crise ivoirienne. Quelle crise ivoirienne ?

C’est donc ça. Il y avait préméditation. Il y avait planification. Et au centre de tout ça, Georges Soros, ami et argentier des multinationales de l’OTAN ; celui qui offrit l’avion ADO-Solution au candidat des multinationales de l’OTAN, le sieur Dramane Ouattara.

Mais ne soyons pas surpris. Human Rights Wtach affirme que 75% de son financement provient d’Amérique du Nord et 25% d’Europe occidentale. L’Amérique du Nord et l’Europe occidentale, c’est ce qu’on appelle le « Bloc occidental » dont l’instrument d’agression est l’OTAN. C’est ce Bloc qui a détruit la Libye, qui est en train d’utiliser des terroristes pour détruire la Syrie et qui a déjà déconstruit la Côte d’Ivoire pour organiser son repeuplement et l’expropriation des peuples autochtones de l’Ouest ivoirien.

Remontez dans nos premières Chroniques. Nous vous avions révélé que des multinationales américaines ont soutenu Ouattara à condition de leur vendre toutes plantations de cacao et de café en Côte d’Ivoire. Leur ambition étant qu’elles allaient donner un statut de salariés aux planteurs qui ont permis à la Côte d’Ivoire d’être premier producteur mondial de cacao. Mais une enquête de terrain a très vite permis à ces prédateurs de comprendre que les planteurs citoyens ivoiriens n’accepteront jamais ce marché de dupe.

La solution qui a alors été trouvée est le repeuplement agricole de l’Ouest avec des Burkinabè. Les terres visées premièrement ont été les forêts classées. Par la suite, les autres forêts ont été concernées. Demandez à l’ONG allemande WWF, très active dans la surveillance des forêts classées en Côte d’Ivoire. Elle confirmera tous ces faits.

Au fait, les stratèges de l’invasion savent qu’il y aura un vaste conflit foncier si l’Etat de droit revenait un jour en Côte d’Ivoire. Ils savent que les Burkinabè ne pourront pas avoir une exploitation paisible des terres occupées de façon anarchique et dans le sang des peuples autochtones.

La solution qui sera alors proposée pour que la paix revienne entre les autochtones et les occupants illégaux des terres de l’Ouest, est le métayage ou l’achat. Des multinationales américaines se proposeront, après des négociations avec leurs collabos au pouvoir, d’acheter ou à défaut de prendre à bail (le métayage) toutes les plantations de cacao et de café concernées par les conflits. Ainsi, aussi bien les autochtones expropriés que les Burkinabè menacés d’expulsion deviendront des salariés et cette solution médiane, qui contenterait les autochtones d’une certaine façon, ouvrira la voie au contrôle de la production et du commerce du cacao ivoirien par les multinationales américaines.

C’est donc cette mission de manipulation de l’opinion afin de favoriser l’implantation illégale des Burkinabès et ouvrir la voie aux négociations futures, lorsque les autochtones auront le droit de revenir sur leurs terres, qui est prise en charge par Human Rights Watch.

Selon l’éminent universitaire israélien Alan Dershowitz, professeur de droit : « Quand il s’agit d’Israël et de ses ennemis, HRW manipule les faits, triche sur les interviews et met en avant des conclusions prédéterminées qui sont dictées plus par l’idéologie que par les faits. »

Eh bien, de même, quand il s’agit de la Côte d’Ivoire dont la pacification est en train de tourner au cauchemar, HMR  « manipule les faits, triche sur les interviews et met en avant des conclusions prédéterminées qui sont dictées plus par l’idéologie que par les faits. »

Par ailleurs, comme le dénonce le bureau du premier ministre israélien,  « les rapports de ces organisations sont une tentative pour porter atteinte au droit légitime d’Israël à se défendre.»

De même, pour la Côte d’Ivoire et exclusivement pour la Côte d’Ivoire jugée pro-GBAGBO et souverainiste, les rapports de Human Rights Wtach sont une tentative pour porter atteinte au droit légitime du peuple ivoirien autochtone à se défendre.

Alors question : devons-nous laisser cette organisation, nébuleuse terrorisme et instrument de manipulation idéologique au service des réseaux mafieux fascistes, parachever le plan d’invasion et de déconstruction de la Côte d’Ivoire conçu pour être exécuté par Dramane Ouattara, un individu dont la Cour Suprême ivoirienne dit de lui qu’il est de moralité douteuse et d’ascendance douteuse ? Juste pour ne pas dire qu’il est un inconnu des fichiers d’Etat civil ivoirien et qu’il n’est qu’en mission pour le compte d’intérêts privés étrangers avec la complicité des Burkinabès, ses frères bien-aimés.

Il faut dénoncer Human Rights Watch. Il faut annuler ses mensonges contre le Président GBAGBO. Il faut l’empêcher de manipuler davantage les faits et les interviews. Il faut dire partout dans le monde, dans toutes les langues, que cette organisation a été financée par les soutiens financiers d’Alassane Ouattara pour couvrir de façon habile les innombrables crimes commis par ce serviteur zélé des multinationales fascistes et, diaboliser le Président GBAGBO ainsique le peuple souverain de Côte d’Ivoire.

Il faut dénoncer via tous les canaux de communication, l’activisme mafieux et terroriste de Human Rights Watch et sa complicité active dans le génocide qui est en cours contre les peuples autochtones de l’Ouest ivoirien.

Il faut que cela se sache. Aucun libérien n’est en faction ou en cours de recrutement pour attaquer le régime génocidaire d’Alassane Ouattara. C’est un mensonge grossier. Avec quels moyens financiers ces libériens seront payés et par qui lorsqu’on sait que tous les avoirs des cadres pro-GBAGBO sont gelés, que Laurent GBAGBO est un indigent qui ne peut financer sa défense à la CPI et que 99% des cadres jugés pro-GBAGBO ont perdu leurs emplois ou la moitié de leurs salaires quand Ouattara a donné l’ordre à ses obligés de les diminuer ?

Human Rights Watch fait du faux et son mensonge répété, son silence sur le drame des peuples agressés et massacrés dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire, son activisme de la dernière heure et son cynisme révoltant visent à pousser les Ivoiriens à bout afin que survienne la guerre civile qui permettra à ceux qui financent cette organisation scandaleusement appelée ONG de défense des droits de l’homme, de faire le dernier nettoyage  « ivoirophobe », ce projet de génocide également baptisé « Rattrapage ethnique » par Alassane Ouattara.

Que Dieu protège et délivre le peuple digne et souverain de Côte d’Ivoire !

A Très bientôt.

Hassane Magued

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