Baroud d’honneur pour Akofala Grunistzky. Anonymat pour Mme Dagadzi

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Dagadzi humiliée a gauche. Grunitzky couvert d’honneur à droite

Il baigne dans les contradictions Faure. On arrive même plus à savoir qui est président et qui est le vrai décideur. Mais la résultante, dit qu’il est le parrain de tout ce qui se passe au Togo. On ne pas aussi nié que toutes les chèvres n’ont pas le même prix bien qu’elles s’appellent toutes chèvres. Mais on peut au moins se demander qu’elle est le prix d’une ancienne première dame morte au Togo et celui d’une nouvelle dame au Togo aussi qui a subit le même destin.

Quand la marâtre, la mégère,  l’accariâtre ou mère  Mme Dagadzi, prenez ce que vous voulez, meurt en France, Faure et Mey, (le dernier est l’enfant de Dagadzi) gazifiaient les togolais avec une pluie de lacrymogènes. Ils luttaient par monts et vaux pour que le pouvoir du 4 mars 2010 ne s’envole par vers d’autres cieux. Chacun à sa manière faisait en sorte de cacher cette mort qui est arrivée dans un moment inopportun, jusqu’à ce que le Lynx le face connaître aux togolais. Les enfants d’Eyadema tous confondus, se tiennent les mains et on met le cadavre de la femme la plus populaire, sinon la plus connue des togolais dans le congelateur. Fait concret. Si Mme Dagadzi est connu dans tout le Togo, Mme Akofala Vinolia Comfort Grunitzky ne couvrait que Lomé. L’histoire de feu Mme Dagadzi qui a envoyé paître  son pauvre mari pour un président est plus connue des togolais que la création des églises « bizarres » de Mme Grunitzky. À la mort de  mme, Dagadzi, les larmes de Faure sont plus du côté de son fauteuil de préfet de la République,et on passe à l’hypocrisie avec les préparatifs d’enterrement. La finalité, c’est  Pascal Bodjona devenu bizaremment l’intendant chez les Gnassingbé qui part enterrer Mme Dagadzi dans son village natal loin de Faure et loin des regards .

Comme une mort d’une première dame peut appeler une autre, Lomé a été sous les feux de celle d’une autre première dame du Togo. Cette fois-ci Akofa Grunitzky. Pour cette dernière,rien a été négligé. Fanfare, grand bruit pour une cadavre, honneur au palais des congrès. Toute l’armada des métis togolais, les anciens ministres et députés en prémière loge. Le gotha politique du RPT comme de l’opposition au menu. Qu’avait sincèrement fait Mme Akofala Grunitzky de si grand pour le bonheur des togolais ? Ouyin Tassam Ambroise, l’artiste , le rossignol a été enterré dans l’anonymat le plus total dans son village à Kabou comme si il n’avait jamais mis la joie dans les cœurs par ses chansons. Le seul chercheur en son domaine au Togo, Dr Amah Gnassimgbé aussi a été enfoui dans le sol comme si il n’avait jamais rien fait pour ce Togo. La liste de ses oubliés est longue. Mais on ne bâtit pas une cité en magnifiant les non méritants, les nuls et en humiliant pour la postérité les méritants. Sincèrement qu’a fait Gnassingbé Koromsa (frère du défunt Eyadema)  pour le Togo. Mais apparemment une descente à l’aeroport de Lomé et le nom vous frappe dans les oreilles par mégaphones interposés : « ici vous êtes dans la salle Koromsa ».

Petit test de popularité pour Bodjona Pascal

A défaut des hommes pour signifier au ministre de l’Administration territoriale et porte-parole du gouvernement qu’il est entrain d’enfonçer le Togo, c’est Mme Alfreda Agbéyomé qui a pris les devants. C’est un monde abasourdi qui a suivi en scène live comment Alfreda a couvert Pascal Bodjona par un déluge d’injures. Quelques fois dans une cité d’hommes sans couilles, et devenus amorphes, il n’est pas rare de voir les femmes prendre les devants. Et c’est le cas du Togo actuel.

Taffa Biassi Lynx.info

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