Agbeyomé Kodjo : L’amour des éléphants blancs !

0

L’homme est constant dans tout ce qu’il fait. Roublard à gogo. Menteur sans scrupules. Populiste à la limite proche des communistes Staliniens. Capable de souffler le froid et le chaud et de dire en une phrase le vrai et le faux, il est de nouveau devant la scène pour nous souhaiter  bonne fête de Noël 2012. Et comme toujours, avec un habillage du faux dans le faux. Il sait que, le non droit qu’il vit au Togo ne profite pas seulement aux Gnassingbé et à leurs nervis mais à lui aussi. Il sait que dans un pays sérieux, sa place serait comme toujours dans une geôle pour avoir pris soins de laisser les zébrures rouges du pouvoir tailler à la machette et avec les obus des centaines de ses concitoyens à Freau Jardin. N’a-t-il pas  lui aussi craché sur la commission du très « gondolé » prélat  Nicodème Barrigah comme tous les voyous qui ont cru bon de rectifier leurs frères pour leurs intérêts ? Au Togo, Agbeyomé Kodjo est le politique le plus excentrique. Il hait qu’on ne parle pas de lui. Il pique des crises quand son nom n’est pas dans les colonnes des journaux. Mieux, il est bien obligé de monter une histoire pour que les confrères, eux aussi contaminés par le règne du « bouffer par la plume »  s’en occupent. Sinon, comment comprendre que ce montage grossier concocté depuis Paris par Agbé sur une supposé chasse à l’homme qu’il serait victime du pouvoir ne nous titille pas les méninges en tant que journalistes pour dire, « Trop c’est Trop » avec le règne des éléphants blancs quand on est un journaliste sérieux ? Pis, du côté de Lomé, on hisse l’homme dans les premières pages des journaux comme le plus populaire des politiques que Faure voudrait abattre pour être président à vie. Très oportuniste, lui aussi s’en sert pour faire une propagande de taille sur sa page facebook. Le nazi Goebbels, alors patron de la propagande en Allemagne n’avait pas lui aussi soufflé au Führer Hitler, que seuls les outils de communication étaient la seule arme qu’on puisse posséder quand on veut abêtir un peuple ? Où est le sérieux chers confrères ? Mieux, on magnifie le cancre qui n’a aucun scrupule à bousculer toutes les règles d’éthiques pour se sentir bien dans sa peau. Bien sûr dans sa peau de Faux Type.

Le plus grand zélé d’hier est devenu « subitement » par une alchimie, le démocrate patenté qui donne des leçons et serait entrait d’écrire l’histoire du Togo et de sa lutte pour la démocratie et des droits de l’homme. Faut-il encore rappeler à la logorrhée tout son passage politique comme sicaire à la solde de la dictature ? Non ! Il nous répondra qu’il est l’auteur du pamphlet :« Il est temps d’espérer ». Véritable cahier de charges de tout ce qu’il avait fait avec les Gnassingbé, il s’en vante d’avoir quitté le navire très tôt et d’être celui qui aurait avec un courage digne du roi Arthur pu tirer à bout portant sur le pouvoir du généralissime défunt. Agbé, notre Agbé national ! Capable  de changer milles fois et en une seconde toutes les couleurs possibles, le Lynx est depuis aux petits soins pour vous révéler dans les prochains  jours pourquoi l’homme est par vaux et monts pour son image.

Galvanisé par le nerf de la guerre qu’il  vient d’avoir dans ses comptes bancaires pour avoir vendu sa villa sise à la cité de l’OUA à des centaines de millions de Franc Cfa, Agbé est de nouveau dans la cité et sur tous les fronts. Bien sûr avec pour fans, une meute de journalistes alimentaires, eux aussi embourbés dans un cannibalisme mensonger de mauvais goût. Si on  aime pas Faure Gnassingbé, ce n’est pas aussi le moment de saupoudrer dans la république des mensonges parce que Agbé serait devenu un investisseur de taille dans les médias de l’opposition. Sinon comment comprendre qu’avec  moins de 1%  de Togolais qui lui ont fait confiance lors des élections présidentielles de 2010, sa voix soit si audible que celle de Fabre ? Comment comprendre cette manière ubuesque de laisser la presse soigner une image mille fois ternies par un mélange de sang, de crimes économiques, de brutalité et d’arrogance que l’homme nous avait servi quant il était aux affaires comme ministre, premier ministre et président de l’Assemblée Nationale ? Pour le reste, le journalisme qui avilit le Togo sera fort combattu par le Lynx. Quant aux politiques qui se servent du journalisme  pour marcher sur les Togolais, eux aussi laisseront leurs peaux dans les colonnes de Lynx.info.

Bonne fête de Noël à Tous !

Camus Ali Lynx.info

 

 

 

Partager

Laisser une réponse