Il faut être naïf pour ne pas savoir pourquoi cette espionne de la CIA, [ Dominique Fadiga Folloroux Boigny Ouattara, ndlr ] a préféré que son foutoir à blanchissement d’argent appelé « Childreen of Africa » porte un nom anglais plutôt que français, quand son pays la France est prêt à brimer tout contestataire de la langue française. Le réseau sur lequel fonctionne cette femme aux mœurs légères est si grand avec des tentacules dans toute l’Afrique en passant par l’Europe pour faire sa chute aux Etats-Unis. Dans une Côte d’Ivoire où les yeux brillent d’une misère ambiante du citoyen, un terreau fertile pour des affairistes de tout acabit et des femmes prêtes à donner jusqu’au dernier carré de leur corps pour avoir la main sur le commerce juteux, fruit de plusieurs mois de travail des paysans. Et Dominique ne semble pas faire exception à la règle. La stratégie est simple. Utiliser un prête nom d’une ONG pour engranger un commerce illégal qui a toutes les formes de l’égalité surtout que, le système ivoirien est aussi moribond que personne ne pourra un matin lever le petit doigt et dire la «Colombe blanche », nom brillant de toutes les « nègreries » que les journaux pro Ouattara et pro Bédié ont donné à cette broyeuse d’hommes.
Sincèrement, entre nous africains, où cette secrétaire a-t-elle trouvé une fortune si colossale pour faire son womenshow toutes les fois que l’occasion s’y prête dans le quartier chic de Cocody ? Quelle entreprise de transformation son ancien mari, professeur de formation a-t-il laissé en Côte d’Ivoire pour que la secrétaire d’hier à l’ambassade du Canada à Abidjan se sente en territoire conquis au point de menacer le pouvoir central par sa puissance financière ? Plusieurs livres et articles de presse ont parlé et reparlé de son ascension fulgurante par les petites passes entre banquiers ivoiriens et banques africaines- pour finir par déposer son fils Loïc-Folloroux comme patron et acheteur du café-cacao ivoirien. Mais ici, le souci est de dénicher cette femme en dénonçant ce vol qui a tous les semblants de l’humanitaire. Il y a de bonnes raisons de refuser à Dominique Ouattara de continuer par humilier la petite fille et le petit garçon ivoirien avec son ONG insultant à leur intelligence et plus loin, l’empêcher de ridiculiser toute la Côte d’Ivoire avec sa boîte bidonne appelée « Childreen of Africa » qui avilit la femme et rend la jeune ivoirienne dépendante des caprices d’une femme qui a eu la malice de vendre ce qu’elle a de plus chère sur son corps pour engloutir tout un pays.
Au demeurant, le Pr Mamadou Koulibaly (Lider) dans un exercice de faire connaître le vrai visage du couple présidentiel ivoirien lancera au confrère d’Afrique Education ces mots qui ont tous leur sens : « Le président Ouattara, en un an de présidence, décore son épouse et l’élève à la dignité de Commandeur de l’Ordre national. C’est une bonne chose pour elle, mais pour la Côte d’Ivoire, je ne sais pas. Je me le demande comme vous. Le président Ouattara, en un an de présidence, décore son épouse et l’élève à la dignité de Commandeur de l’Ordre national. C’est une bonne chose pour elle, mais pour la Côte d’Ivoire, je ne sais pas. Je me le demande comme vous. » Ensuite, le professeur va plus loin en dépouillant cet habillage humanitaire de Dominique et de son mari qui pue une odeur d’escroquerie sur le dos des Ivoiriens : « La fondation Children of Africa, propriété de la première dame, a été érigée en organisation d’utilité publique par un décret pris par son mari (décret n° 2012-232 du 07/03/2012). Cela signifie que cette fondation bénéficiera de l’argent du contribuable ivoirien pour son financement. En clair, on prend l’argent de l’Etat pour faire les œuvres caritatives. La bonne gouvernance est en souffrance. Pourquoi le ministère des Affaires sociales ne fait pas ce travail avec de l’argent public ? ». Quand on sait que peu d’Ivoiriens le savent et ne veulent pas le savoir pour certains, il y a à se demander si ce pays se relèvera un jour de ce grand banditisme au sommet de l’Etat !
Djima Matapari Lynx.info