« Nous lui demanderons d’être candidat » dixit Lawson de Souza Kayi Raymonde. Ces mots nous sonnent dans les tympans comme une injure faite au peuple togolais. Pas parce que Faure n’a pas le droit d’être candidat mais parceque nous sommes tous fatigués d’entendre la chansonnette depuis 1969.
Jamais dans l’histoire du Togo une femme n’aura été une vraie calamité, une atteinte à la pudeur pour la jeune fille. Son nom : Lawson de Souza Kayi Raymonde, présidente d’une association qu’elle même dénomme : Convention des Femmes pour UNIR.
Et pourtant, ce sont ces « allumeuses nocturnes », ces « fées de minuit » qui guident le prince, lui donnent des conseils et sont sur tous les fronts pour amener nos mères dans l’âbime de la politique de mendicité que le RPT hier et Unir aujourd’hui prônent. « Nous sommes venues à Sokodé pour apporter notre soutien aux femmes qui ont été opérées de la fistule. Nous sommes les envoyées du Chef de l’État aux côtés de ces femmes qui ont souffert toute une vie de la fistule. Elles ont été opérées à ce jour et nous leur rapportons notre soutien » enchaîne t-elle au micro du confrère Afreepress. Si on comprend bien, il appartient désormais à d’autres prêtresses de venir au secours de nos mamans de nos soeurs ? Alors, où sont nos infirmiers, nos médecins et tout le corps concerné en la matière ? Que vient chercher la politique dans nos hôpitaux ? Chez nous au Togo, la référence, c’est la médiocrité, la débauche, le gâchis… Dans ces conditions, comment ne voulez-vous pas que dame Kayi Raymonde expose ses mamelles à faire éclater la libido chez le jeune garçon au passage ? Même Faure avec qui, elle se tient serrer sur cette photo ci-dessus qui déshonore la république et expose la nation togolaise semble ne pas être tellement gêné. Sinon, il n’aurait pas récidivé en envoyant une dame dont l’allure pue la cupidité, le vol et le braquage dans nos villes et campagnes.
D’ailleurs, quand le confrère d’Afreepress lui demande combien d’adhérents elle compte dans son association, la dame aux grosses mamelles qui refusent de les cacher sous un soutien gorge glapit : « On est nombreuse ». Fin de partie ! Elle et une clique de petites voyous représentent une association cupide, dangereuse pour le Togo, elle le sait. Sinon, comment une présidente d’une association structurée et respectable n’ait pas en tête le nombre d’adhérents ? C’est ca le Togo. La broutille au sommet. Les hommes et femmes méritants au bas de l’échelle. Pis, elle enchaîne les inepties au point de nous provoquer des ulcères : « La Convention des Femmes pour UNIR ne reçoit de fonds de nulle part. Ce sont des femmes qui se retrouvent au jour le jour et mettent ensemble leurs petits moyens pour ce travail. » Comme si l’entretien de ses seules mamelles n’était pas déjà un poids pour le contribuable togolais !
Mabizo Kiri Lynx.info