Silence, on tue les petits enfants du colonel Klébert Dadjo comme des poules. Les Nawda humiliés !

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Bruno Masuré nous apprend que, dans les dictatures, l’armée s’entraine sur le peuple. Le mode opératoire exercé sur un officier dit-on qui avait 500 « chiens » de guerre en est bien l’illustration des armées sous les dictatures tropicales.

Le colonel Klébert Dadjo aura été président du Togo pendant trois mois. Ce qui reste de lui dans le subconscient collectif de ceux qui refusent que l’histoire du Togo soit écrite qu’il  « était une fois Gnassingbé Eyadema », est le bourg de Siou, son village natal et le refus de ce dernier de cautionner le coup d’Etat de 1963. Chef d’Etat-major de Sylvanus Olympio. Officier avec grade de colonel, il fut le plus haut gradé de l’Armée française en Afrique Occidentale française.  Homme digne et cultivé, il fut réhabilité à la conférence Nationale Souveraine de 1992. Son ennemi juré Eyadema Gnassingbé qui fut son « marmiton », dans la coloniale, trouvera le malin plaisir avec la complicité de quelques enfants maudits du bourg de Siou de salir la mémoire de ce grand homme une fois que ses sicaires retrouvèrent l’agilité de trucider les Togolais pour son retour en force au sommet de l’Etat. Klébert Dadjo sera taxé d’ivrogne et traiter de rien. L’homme mourra dans des conditions d’extrême pauvreté loin de la ville de Lomé. Ce sont les petits enfants et parents de ce grand homme qui était une fierté nationale que certains esprits qui veulent garder le pouvoir égorgent comme des petits poulets… avec parfois le silence complice des Nawda qui vivent avec le pouvoir dans l’abondance. En témoigne. Le lieutenant Vincent Tokfai fut poursuivi jusqu’au Ghana où il mourut dans des conditions semblables de celles du lieutenant-colonel Lieutenant-Colonel Madjoulba Bitala. Pis, il a suffi d’un château d’eau, sans aucune goutte d’eau dans le marché de la ville de Niamtougou pour que les « Nawda » soient emballés. Si ’hystérie puérile et collective d’un peuple qui confond aimer ses enfants et les prébendes d’un parti politique imbécile appelé UNIR nous était contée ! Désormais, ce sont des flaques de sang de leurs fils qu’ils devraient apprendre à nettoyer… et à vie. Jamais un peuple n’aura été autant humilié au Togo !

Dans les heures qui suivront, vous lirez un dossier complet sur le lieutenant-Colonel Madjoulba Bitala…..sur votre site préféré.

Camus Ali

Lynx.info

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