Etant tous témoins de l’histoire récente, je vous soumets la lecture de la vie de deux êtres dont l’arbre généalogique se recoupe et qui dans leur faits et gestes sont des racistes et des montres pour l’humanité.
Premièrement : Traits faciaux et biométrie
SARKOZY HITLER
Longueur du nez : 12cm 11.87 cm
Distance entre les ailles du nez : 3cm 2.8cm
Distance entre le somment des arcades sourcilière : 9cm 9 cm
Ecart entre les deux angles temporaux des yeux : 22cm 23cm
Largeur de la bouche : 15cm 14cm Sommet tête menton : 31cm 30 cm Ecart entre les deux oreilles : 26cm 26.5cm
Périmètre crânien 56cm 56 cm
Taille : 1m56 1m72
Poids : 53 kg 77kg
Deuxièmes : Naissance et jeunesse
Adolf Hitler
Adolf Hitler est né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn, une petite ville de Haute-Autriche près de la frontière austro-allemande dans l’auberge Gasthof zum Pommer, Vorstadt Nr. 219.
(Alors en Autriche-Hongrie)
Il est le quatrième des six enfants d’Alois Hitler et de Klara Pölzl. La plupart des enfants meurent en bas âge ; seule sa sœur cadette Paula († 1960) lui ont survécu. L’arbre généalogique d’Adolf Hitler laisse cependant planer de fortes suspicions de consanguinité. L’incertitude relative à ses origines n’est pas sans conséquence. Ainsi après l’Anschluss en 1938, il fait détruire Döllersheim, le village natal de son père comme Sarkozy, il a le goût de la destruction et de la violence inutile, en le transformant en champ de tir. Au printemps 1913, pour éviter son enrôlement dans l’armée de l’Empire austro-hongrois, État multiethnique qu’il exècre, il s’enfuit à Munich.
Demandez à Ouattara s’il a fait le service militaire d’un de ses pays !!!
L’enfance d’Adolf se passe sous la stricte discipline d’un père âgé, fonctionnaire retraité dès 1895. Le 3 janvier 1903, son père meurt, suivi le 21 décembre 1907 par sa mère, qui succombe à un cancer du sein.
Élève médiocre à partir de son entrée à la Realschule (lycée) de Linz, où il croise la route du futur philosophe d’origine juive Ludwig Wittgenstein2, Hitler refuse déjà de suivre la voie paternelle. Devenu orphelin, vivant d’une petite bourse d’étude, il échoue par deux fois à l’examen d’entrée de l’Académie des Beaux-arts de Vienne en 1907 et le 8 octobre 1908
Bohème à Vienne : les années de formation décisives (1908–1913).
Devenu orphelin, vivant d’une petite bourse d\’étude, il échoue par deux fois à l’examen d’entrée de l’Académie des Beaux-arts de Vienne en 1907 et le 8 octobre 1908. Une rumeur récurrente prétend qu’Hitler était seulement peintre en bâtiment ; une caricature féroce de Sennep a peut-être contribué à ancrer la légende. Il a en fait laissé des aquarelles, estimées au nombre de 2 000, certes sans génie particulier, mais qui témoignent, au moins, du fait qu’il était capable d’en peindre et qu’il possédait en tout cas de très bonnes bases dans cette technique. En revanche, pendant ses années de « galère » après avoir échoué à l’examen d’entrée aux Beaux-arts, Hitler occupa un emploi de manœuvre, comme il l’a mentionné dans Mein Kampf.
Autodidacte, grand lecteur3, et admirateur inconditionnel de la musique de Richard Wagner, tout comme son ami August Kubizek, il développe un intérêt profond pour l’architecture. Il vit de ses peintures, surtout des aquarelles, enchaîne les petits boulots, vivant dans une vie de bohème et de misère constante durant cinq ans, poussant même jusqu’à la mendicité. Plus tard, dans Mein Kampf, il écrit :
« Cinq années pendant lesquelles je dus, comme manœuvre d’abord, ensuite comme petit peintre, gagner ma subsistance, maigre subsistance, qui ne pouvait même pas apaiser ma faim chronique. Car la faim était alors le gardien fidèle qui ne m’abandonna jamais, la compagne qui partagea tout avec moi. Chaque livre que j’achetai eut sa participation ; une représentation à l’opéra me valait sa compagnie le jour suivant ; c’était une bataille continuelle avec mon amie impitoyable. J’ai appris cependant alors comme jamais avant. Hors mon architecture, hors les rares visites à l’Opéra, fruit de mes jeûnes, je n’avais d’autre joie que des livres toujours plus nombreux. »
Nicolas Sarkozy
Nicolas Paul Stéphane Sarkozy de Nagy-Bocsa, dit Nicolas Sarkozy est né le 28 janvier 1955 à Paris.
Tout comme son préfet d’Abidjan il a changé de nom (Allassane Dramane Ouattara devenu allassane Ouattara). Nicolas Paul Stéphane Sarkozy de Nagy-Bocsa est le fils de Paul Sarkozy de Nagy-Bocsa et d’Andrée Mallah.
Son père est d’origine hongroise, sa mère a des origines françaises, grecques et juives.
Qui s’assemble se ressemble voila pourquoi Ouattara qui choisit son pays en fonction de son intérêt lui est proche !!!
Élève du lycée Chaptal (8e arrondissement de Paris), qu’il quitte pour redoubler sa sixième (nul comme hiltlaire) au Cours Saint-Louis de Monceau situé rue de Monceau, dans le même quartier, Nicolas Sarkozy obtient un baccalauréat B en 1973.
Étudiant à l\’université Paris X Nanterre, il y obtient une maîtrise de droit privé en 1978. Deux ans plus tard, au terme de ses études universitaires, il décroche un certificat d\’aptitude à la profession d\’avocat (CAPA) avec la note de 10/20. Il a par ailleurs obtenu un DEA en sciences politiques, lors de la deuxième session, avec un mémoire sur le référendum du 27 avril 1969.
En septembre 1979, il entre à l\’Institut d\’études politiques de Paris section Pol.Eco.Soc. Dont, en 1981, il ne ressort pas diplômé. Selon Catherine Nay, cet échec serait dû à une note éliminatoire en anglais.
Il effectue son service militaire en 1978, à la Base aérienne 117 Paris (quartier Balard), dans le 15e arrondissement de Paris, où il appartient au Groupe rapide d\’intervention chargé du nettoyage. ?!!! A quel moment suivait-il ses cours de maitrise en droit ? Tout comme son poulain Ouattara il falsifie l’histoire
Troisièmes : l’histoire familiale (Ascendants, collatéraux et descendant)
Adolf Hitler
Alois Hitler, le père d’Adolf, est douanier. Né hors mariage le 7 juin 1837, Alois porte d’abord le nom de famille de sa mère, Maria Anna Schicklgruber, mais le 6 juin 1876, il est légitimé par le mari de sa mère, et obtient un an plus tard le droit de porter le nom « Hitler ». Adolf n’utilisa jamais d’autre patronyme, et « Schicklgruber » ne resurgit que plus tard chez ses opposants politiques. L’enfance d’Adolf se passe sous la stricte discipline d’un père âgé, fonctionnaire retraité dès 1895. Le 3 janvier 1903, son père meurt, suivi le 21 décembre 1907 par sa mère, qui succombe à un cancer du sein.
Sarkozy : Une vie familiale trouble comme celle de son disciple de Ouattara
Nicolas Paul Stéphane Sarkozy de Nagy-Bocsa est le fils de Paul Sarkozy de Nagy-Bocsa et d’Andrée Mallah. Son père est d’origine hongroise comme Hitler, sa mère a des origines françaises, grecques et juives. Qui s’assemble se ressemble.
Voila pourquoi Ouattara qui choisit son pays en fonction de son intérêt lui est proche !!! Et a épousé une franco-juive.
Littéralement, le nom hongrois de son père, né le 5 mai 1928 à Budapest était nagybócsai Sárközy Pál Istvan Ernő. Il est issu d’une famille hongroise dont un ancêtre paysan s\’est battu contre les Turcs et a été remercié le 10 septembre 1628 non pas par un réel titre de noblesse, mais reçut de l\’empereur Ferdinand II de Habsbourg le droit de faire précéder son nom par celui de son village d\’origine ainsi que d\’utiliser des armoiries.
La famille Sarkozy possédait des terres et un petit château dans le village d’Alattyán, près de Szolnok, à 92 km à l’est de Budapest, où elle a exercé des fonctions électives à la mairie de Szolnok (dont celle d’adjoint au maire pour le grand-père de Nicolas Sarkozy). Cependant, son niveau de vie était plus modeste que ce qu\’a pu indiquer Pal Sarkozy.
Famille de menteurs !!!
À l’arrivée de l’Armée rouge en 1944, la famille est expropriée et s’exile. Après de nombreuses péripéties à travers l’Autriche et l\’Allemagne, Pál Sárközy rencontre un recruteur de la Légion étrangère à Baden-Baden. Il s\’engage pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi Bel Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ pour l\’Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Il francise alors son nom en Pal Sarközy de Nagy-Bocsa.
Andrée Mallah, née dans le 9e arrondissement de Paris le 12 octobre 1925, est la fille de Bénédict Mallah, né Aaron « Beniko » Mallah (né en 1890 à Salonique, alors partie de l\’Empire ottoman, de nos jours en Grèce) et d\’Adèle Bouvier (née le 5 mars 1891 dans le 4e arrondissement de Lyon).
La famille Mallah, dont est donc issu Bénédict, père d\’Andrée et grand-père de Nicolas Sarkozy, est une famille juive séfarade d\’Espagne ayant trouvé refuge à Salonique après l’expulsion de 1492.
L’oncle de Bénédict, nommé Moshé est rabbin et éditeur du journal grec El Avenir. Deux de ses cousins sont sénateurs : Asher, qui contribue, en 1912, à établir l’Université du Technion à Haïfa en Israël, et Peppo, premier représentant diplomatique d’Israël en Grèce. Son père, l’arrière-grand-père de Nicolas Sarkozy, est joaillier et meurt en 1913. À ce moment, la mère de Bénédict s’installe en France, avec ses sept enfants. Beniko, aîné de la fratrie, y devient médecin et s’engage dans l\’Armée française pour soigner les blessés de la Première Guerre mondiale. Il y rencontre Adèle Bouvier, infirmière catholique issue d\’une famille savoyarde (devenue française en 1860) et qui fut, par ailleurs, mariée une première fois en 1910 à un autre infirmier militaire, René Prost, né à Lyon le 29 janvier 1884 et mort pour la France le 2 mars 1916.
Bénédict et Adèle se marient le 19 octobre 1917, après que ce dernier a francisé son prénom lors de sa conversion au catholicisme due à la rencontre de sa nouvelle femme. Ils ont deux filles : Suzanne et Andrée, la mère de Nicolas Sarkozy.
Enfin, Bénédict s\’installe comme chirurgien urologue à la clinique Saint-Jean-de-Dieu dans le 17e arrondissement de Paris7, où Adèle Bouvier décédera le 24 février 1956. Lors de la Seconde Guerre mondiale, le couple Mallah quitte Paris avec leurs deux filles Andrée et Suzanne pour se réfugier dans la zone libre contrôlée par le gouvernement de Vichy, en Corrèze à Marcillac-la-Croisille7.
En 2007, lors d’un voyage officiel en Algérie de Nicolas Sarkozy, alors président de la République française, une polémique éclate quant à l’histoire de la famille Mallah et ses origines juives. À cette occasion, la chambre de commerce France-Israël, via son site internet, rappelle l’histoire de la famille Mallah.
En 1949, Pal Sarkozy, devenu publicitaire, rencontre Andrée Mallah, alors étudiante en droit. Ils se marient le 8 février 1950 dans le 17e arrondissement de Paris. De cette union naîtront trois garçons : Guillaume, né en 1951, futur chef d\’entreprise dans le textile (vice-président du MEDEF entre 2000 et 2006), puis Nicolas, né le 28 janvier 1955 dans le 17e arrondissement de Paris ; pour l\’état civil, son nom complet est Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa.
Enfin François naît en 1957, et deviendra pédiatre, chercheur en biologie puis dirigeant de sociétés (vice-président de BioAlliance Pharma et président de Publicis Healthcare Consulting).
Mais le père quitte le domicile conjugal en 1959, ce qui entraîne le divorce du couple. Andrée Mallah reprend alors ses études pour pouvoir travailler et élever ses enfants. Cette éducation est réalisée avec l\’aide de la nouvelle figure paternelle de la famille que devient maintenant le grand-père Bénédict. Andrée Mallah et ses enfants s’installent donc chez ce dernier qui habite alors rue Fortuny, dans le 17e arrondissement de Paris. La mère réussit à devenir avocate, et exerce au barreau de Nanterre ; elle plaidera notamment dans l\’affaire Villarceaux en 1971. Lorsque Bénédict meurt en 1973, la famille s\’installe finalement avenue Charles-de-Gaulle à Neuilly-sur-Seine (département des Hauts-de-Seine), se rapprochant ainsi de nouveau de Pal Sarkozy qui s’y était établi.
Après ce premier divorce, Pal Sarkozy se remariera trois fois. De son deuxième mariage avec Christine de Ganay naîtront deux enfants : Caroline et Olivier, né Pierre-Olivier, qui deviendra co-directeur de la direction financière du groupe Carlyle
Quatrièmes : vie politique et relations internationales
Sarkozy
Avocat d’affaires de profession, il a occupé les fonctions de maire de Neuilly-sur-Seine, de député, de porte-parole du gouvernement, de ministre du Budget, de ministre de la Communication, de ministre de l\’Intérieur, de ministre de l’Économie et des Finances et de président du conseil général des Hauts-de-Seine.
Alors qu’il est président de l\’UMP, Nicolas Sarkozy remporte l’élection présidentielle de 2007 avec 53,06 % des voix au second tour, face à Ségolène Royal. Il prend ses fonctions de vingt-troisième président de la République française le 16 mai 2007. À ce titre, il préside notamment le Conseil européen en 2008, l’Union pour la Méditerranée et le G20 pour l’année 2011. Son mandat est marqué par des crises internationales.
Poursuivant toujours ses actes de destruction, nous vous invitons à lire attentivement celle de son idole pour mieux comprendre ses pensées et anticiper ses actions à venir.
Adolf Hitler
Porté à la tête de l’Allemagne par le Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) qu’il reprend en 1921, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter en 1934 comme président, titre qu’il délaisse pour celui de Führer (« guide »). Sa politique expansionniste est à l\’origine du volet européen de la Seconde Guerre mondiale, pendant lequel il fait perpétrer de très nombreux crimes contre l’humanité, dont la Shoah reste le plus marquant.
L’ampleur sans précédent des destructions, des pillages et des crimes de masse dont il est le responsable, tout comme le racisme radical singularisant sa doctrine et l’inhumanité exceptionnelle des traitements infligés à ses victimes.
Adolf Hitler assiste aux séances du Parlement autrichien, il écrit plus tard son mépris pour la démocratie et le parlementarisme. Il étudie les thèses pangermanistes et observe l’influence de la politique sur les masses. Dans ce bastion de la social-démocratie autrichienne, il forge également son dégoût pour les doctrines marxistes.
Son nationalisme raciste transcende les clivages traditionnels. Un objectif fondamental pour lui est la reconstitution d’une « communauté nationale » .Cette idée a murit dans la tête de Sarkozy avec son projet bidon de l’union pour la méditerranée.
En pleine 2 eme guerre mondiale, Hitler se réjouit que les ravages des bombardements alliés facilitent pour l’après-guerre ses projets grandioses de reconstruction radicale de Berlin ; de même sarkozy se rejouit des vastes destructions occasionnée par les bombardements de l’otan sur la Lybie et la destruction d’Abidjan par ses troupes et les rebelles de Ouattara, car ces gachis constituent un grand marché de reconstruction pour venir à bout de son incapacité à relancer l’économie française et son grand chômage.
LISEZ ATTENTIVEMENT CE QUI SUIT ET VOUS COMPRENDREZ QUE NICOLAS SARKOZY NE REPREND EN POLITIQUE INTERNATIONALE, LES FAITS ET GESTE D’HITLER !!!!!!!
La diplomatie du Troisième Reich est essentiellement conçue et dirigée par Hitler en personne tout comme sarkozy en france. Ses ministres des Affaires étrangères successifs (Konstantin von Neurath puis Joachim von Ribbentrop) relayent ses directives sans faire preuve d’initiatives personnelles. La diplomatie hitlérienne, par son jeu d’alliances, d’audaces, de menaces et de duperies, est un rouage essentiel des buts stratégiques que poursuit le Führer. Ses discours tonitruants au Reichstag ou aux congrès nazis de Nuremberg scandent les crises diplomatiques qu’il provoque successivement ; ils alternent avec ses interviews hypocritement rassurantes aux journaux étrangers, ou avec ses entretiens accordés aux représentants étrangers (cf au discours de sarkozy au Sénégal).
Assimilant complètement son destin personnel au destin de l’Allemagne, et identifiant le cours biologique de sa vie avec la destinée du Reich, Hitler est obsédé par la possibilité de son vieillissement prématuré, et il veut donc pouvoir déclencher sa guerre avant de fêter ses 50 ans. Le regard porté par le dictateur sur lui-même a donc un rôle direct dans l’accélération des événements par lesquels il conduit l’Europe à la Seconde Guerre mondiale.
L’opposition au traité de Versailles
Le 14 octobre 1933, Hitler retire l’Allemagne de la Société des Nations et de la Conférence de Genève sur le désarmement, tout en prononçant des discours pacifistes de même sarkozy annonce le retrait des troupes françaises d’abidjan et dakar. Le 13 janvier 1935, la Sarre plébiscite massivement (90,8 % de Oui) son rattachement à l’Allemagne.
Le 16 mars 1935, Hitler annonce le rétablissement du service militaire obligatoire et décide de porter les effectifs de la Wehrmacht de 100 000 à 500 000 hommes, par la création de 36 divisions supplémentaires. Il s’agit de la première violation flagrante du traité de Versailles.
En juin de la même année, Londres et Berlin signent un accord naval, qui autorise le Reich à devenir une puissance maritime. Hitler lance alors un programme de réarmement massif, créant notamment des forces navales (Kriegsmarine) et aériennes (Luftwaffe) « Voyons ! Réfléchissez ! Rendez-vous compte de ce qui est logique ! ».
Les Jeux olympiques d\’hiver de 1936 à Garmisch-Partenkirchen ont constitué une formidable vitrine pour la propagande, surtout pour faire oublier sa politique du fait accompli et mettre au pied du mur le Royaume-Uni et la France dans ce qu’Hitler projette de faire. En janvier 1936, Bertrand de Jouvenel, jeune journaliste se trouvant aux Jeux d’hiver, prend l’initiative de contacter Otto Abetz, représentant itinérant du Reich, pour lui demander une interview d’Hitler. Abetz y voit une bonne opportunité de communication pour contrecarrer la ratification du pacte franco-soviétique par un vote de la Chambre des députés devant avoir lieu le 27 février. La veille de la publication, le propriétaire de Paris-Soir, Jean Prouvost, interdit la diffusion de l’article, qui est demandée par le président du conseil Albert Sarraut. Finalement, l’article est publié, le lendemain du vote dans le journal Paris-Midi du vendredi 28 février.
Quel était le but des Allemands ? Faire retarder la publication pour ensuite dire que les bonnes intentions d’Hitler avaient été cachées aux Français et ainsi adopter des contre-mesures. Pour cette fois-ci, il s’agira de la violation du traité de Versailles et des accords de Locarno par la remilitarisation de la Rhénanie le 7 mars 1936.
Ce que dira Hitler dans son interview dans Paris-Midi est calibré pour le public français et représentatif de ses talents de manipulateur. Il dit ainsi sa « sympathie » pour la France et expose ses volontés pacifiques : « La chance vous est donnée à vous. Si vous ne la saisissez point, songez à votre responsabilité vis-à-vis de vos enfants ! Vous avez devant vous une Allemagne dont les neuf dixièmes font pleine confiance à leur chef, et ce chef vous dit : “Soyons amis !” » Voici un des traits de Sarkozy le narcissisme et pédantisme.
Les réactions à cette interview sont toutes convergentes à travers l’Europe, de Londres à Rome en passant par Berlin. Tous les commentateurs saluent les paroles de paix d’Hitler et chacun y voit le début d’un rapprochement à quatre.
Dès le 7 mars 1936, Hitler revient sur ses paroles de paix en remilitarisant la Rhénanie, violant une nouvelle fois le traité de Versailles ainsi que les accords de Locarno. C’est un coup de bluff typique de sa méthode personnelle. Hitler a donné comme consigne à ses troupes de se retirer en cas de riposte de l’armée française. Cependant, bien que l’armée allemande, à ce moment-là soit bien plus faible que ses adversaires, ni les Français, ni les Britanniques ne jugent utile de s’opposer à la remilitarisation. Le succès est éclatant pour Hitler.
Complaisances à l’étranger comme Nicolas qui manipule Obama et la grande Bretagne.
La fascination exercée par Hitler dépasse largement à l’époque les frontières de l’Allemagne. Pour de nombreux sympathisants du fascisme, il incarne l’« ordre nouveau » qui remplacera les sociétés bourgeoises et démocratiques « décadentes ». Certains intellectuels font ainsi le pèlerinage du congrès de Nuremberg, comme le futur collaborationniste Robert Brasillach. Le journaliste Fernand de Brinon, premier Français à interviewer le nouveau chancelier en 1933, sera un militant proche du nazisme, et le représentant du régime de Vichy en zone nord dans Paris occupé. Le 13 juin 1933, le premier ministre fascisant de Hongrie, Gyula Gömbös, est le premier chef de gouvernement étranger à rendre une visite officielle au nouveau chancelier allemand.
Chez les conservateurs de toute l’Europe, beaucoup s’obstinent des années à ne voir en Hitler que le rempart contre le bolchevisme ou le restaurateur de l’ordre et de l’économie en Allemagne. La spécificité et la nouveauté radicales de sa pensée et de son régime ne sont pas perçues ; on ne voit en lui qu’un nationaliste allemand classique, guère plus qu’un nouveau Bismarck. On veut souvent croire aussi que l’auteur de Mein Kampf s’est assagi avec l’exercice des responsabilités. Au printemps 1936, Hitler reçoit spectaculairement à sa résidence secondaire de Berchtesgaden le vieil homme d’État britannique David Lloyd George, un des vainqueurs de 1918, qui ne tarit pas d’éloges sur le Führer et les succès de son régime. En 1937, il reçoit de même la visite du duc de Windsor (l’ex-roi d’Angleterre Édouard VIII).De la même manière en tant que président de l’union européenne et du G20 Sarkozy a imposé clandestinement ses vues à ses homologues par la corruption et des marchés de dupe.
À l’été 1936, Hitler inaugure les Jeux olympiques de Berlin. C’est l’occasion d’un étalage à peine voilé de propagande nazie, ainsi que de réceptions grandioses destinées à séduire les représentants des establishments étrangers présents sur place, notamment britannique. Le Grec Spyrídon Loúis, vainqueur du marathon aux premiers jeux de 1896, lui remet un rameau d’olivier venu du bois d’Olympie. La France a renoncé à boycotter les jeux, et ses sportifs font polémiques en défilant devant Hitler le bras tendu (le salut olympique ressemblant au salut nazi). Par contre, la délégation américaine s’est refusée à tout geste ambigu lors de son passage devant le dictateur. Plus tard, pendant les épreuves, Hitler quitte la tribune officielle, mais ce geste n\’aurait pas eu pour but, contrairement à une idée répandue, d\’éviter d’avoir à serrer la main du champion noir américain Jesse Owens , mais d’éviter de devoir féliciter tous les vainqueurs, décision qui englobe Owens sans le viser spécifiquement.
Le 2 janvier 1939, Hitler est élu Homme de l’année 1938 par le Time Magazine de mêmes Sarkozy fait octroyé le prix Houphouët boigny à Wade et le prix Nobel à son futur complice Obama.
Les alliances
Hitler et Mussolini assistent à un défilé lors de la visite officielle de Mussolini à Munich Sarkozy fait défiler des troupes africaines aux champs Elysées en prélude de ces actes de tueries en Afrique.
En juillet 1936, Hitler apporte son soutien aux insurgés nationalistes du général Franco lors de la guerre d’Espagne, de même en Côte d’ivoire et en Lybie nicolas sarkozy apporte son soutien aux rebelles. Il fait parvenir des avions de transports pour permettre aux troupes coloniales du Maroc espagnol de franchir le détroit de Gibraltar lors des premiers jours cruciaux de l’insurrection. Tout comme Mussolini, il envoie ensuite du matériel militaire ainsi qu’un corps expéditionnaire, la Légion Condor, qui permettra de tester les nouvelles techniques guerrières, notamment les bombardements aériens terroristes sur les populations civiles, lors de la destruction (comme en Côte d’ivoire et Lybie) de Guernica en 1937.
Cinquièmes : vie sentimentale et moralité douteuse de Sarkozy qui explique tout !!!
Conjoints et descendance
Mariage avec Marie-Dominique Culioli Le 23 septembre 1982, Nicolas Sarkozy épouse Marie-Dominique Culioli, fille d\’un pharmacien corse de Vico.
Charles Pasqua est un des témoins de son mariage. Deux fils naissent de cette union, Pierre (né en 1985) qui sera producteur de rap sous le pseudonyme de Mosey et Jean (né en 1986) qui suivra le même chemin que son père, la politique.
Comme Ouattara dont le garçon jamaïcains est chanteur de reggae, Mariage avec Cécilia Ciganer-Albéniz.
En 1984 soit 2 ans plus tard, il rencontre Cécilia Ciganer-Albéniz, lorsqu’en qualité de maire de Neuilly, il la marie à l’animateur de télévision Jacques Martin. Ils entament bientôt une liaison cachée (homme de peu de moralité) jusqu’en 1989, quand les deux amants quittent leurs conjoints respectifs et s’installent ensemble. Tandis qu’elle obtient le divorce en quatre mois, celui de Nicolas Sarkozy et de Marie-Dominique Culioli n’est prononcé qu’au terme de huit ans de procédure. Leur mariage a lieu quelques jours après, le 23 octobre 1996. Ils ont pour témoins Martin Bouygues (vous comprenez ce qui arrive à la Côte d’ivoire, une guerre pour des témoins de mariage ; Nicolas pour les Ouattara et Bouygues pour Sarkozy) et Bernard Arnault. Leur fils, Louis, naît en 1997. Après une séparation temporaire en 2005, ils annoncent le 18 octobre 2007, dans un communiqué officiel de l’Élysée, leur « séparation par consentement mutuel », avant d’officialiser leur divorce. Elle était présente lors de la cérémonie d’investiture du président, le 16 mai 2007, en compagnie de ses enfants, ceux de son premier mariage, ainsi que de son fils commun avec le nouveau président de la République française.
Mariage avec Carla Bruni
Fin décembre 2007 (trois mois après son divorce), Nicolas Sarkozy fait la connaissance de la chanteuse et ancien mannequin Carla Bruni, lors d’un dîner au domicile de Jacques Séguéla. Leur mariage civil est célébré le 2 février 2008(trois mois après leur rencontre) au palais de l’Élysée par le maire du 8e arrondissement de Paris, François Lebel, avec pour témoins Nicolas Bazire et Mathilde Agostinelli pour le marié, Farida Khelfa et Marine Delterme pour la mariée.
Ainsi va le monde !!!!!!
Zoulohoua