Il n’y a jamais deux sans trois et ce n’est pas le nègre de service Kofi Anan du Ghana qui en ferait l’exception.
A l’époque de son ascension à la tête de l’ONU suivie de sa louche «mission de bons offices» auprès du dirigeant irakien défunt Saddam Hussein, nous étions parmi les premiers à faire dès 1997 l’autopsie psychanalytique sans complaisance du diplomate ghanéen énigmatique détenteur de plusieurs nationalités occidentales (suédois, suisse et américaine entre autres).
C’était dans les colonnes du très virulent Journal panafricain de Genève dénommé «Regards Africains» qui était dirigé par le Politologue et Journaliste congolais Mutombo Kanyana et à travers lequel j’avais commencé déjà à cette époque à exercer ma plume acerbe de Journaliste engagé au service de la Lutte d’émancipation des Peuples Africains et de leur Diaspora.
Nos nombreux détracteurs nègres hyper-myopes n’avaient pas hésité déjà à cette époque de nous accuser gratuitement de jalousie envers un Africain qui a «réussi» (sa carrière) en estimant qu’un Kofi Togolais qui critique un Kofi Ghanéen ayant l’âge de son père le faisait absolument par complexe d’Oedipe. D’autres sont même allés jusqu’à m’accuser en tant qu’Auteur de l’article de vouloir propager la haine intra-communautaire qui serait à l’origine du manque de solidarité au sein des Africains.
Mais l’assassinat scandaleux du dirigeant irakien Saddam Hussein par les gloutons envahisseurs yankees, suivi plus tard de la découverte de la corruption scandaleuse et gigantesque pilotée par le diplomate nègre aux multiples nationalités occidentales (sous le couvert de son propre fils métis Kwadio Anan) était venu nous donner raison.
Cette carrière diplomatique au service du Mal est confirmée plus tard par la révélation scandaleuse du grossier mensonge politique yankee sur de prétendues «armes de destruction massives» (sic!) qui n’ont jamais existé en Irak et cela nous a pleinement donné raison pour notre autopsie minutieuse faite quelques années plus tôt.
Et pourtant nos détracteurs nègres ont délibérément choisi de ne pas comprendre qu’on est en face d’un vulgaire bounty nègre ultra-corrompu soigneusement formaté mentalement par ses maîtres occidentaux pour défendre servilement leur violente hégémonie néo-impérialiste et néo-colonialiste dévastatrice en Afrique et ailleurs.
L’épisode de cette «mission de bons offices» du nègre de service en Irak était pour nous personnellement le premier indice prouvant que Kofi Anan, à l’instar de Kofi Yamgnane, ne fait la Politique internationale aux côtés des ‘Blancs’ dans l’intérêt des ‘Noirs’ et des ‘Blancs’, mais la fait plutôt au service des ‘Blancs’ exclusivement et beaucoup plus souvent contre les ‘Noirs’.
Quand j’ai eu à me replier précipitamment au Ghana en Octobre 2010 suite à mes mésaventures carcérales au TOGO, j’ai eu la rare occasion de visiter à Accra le «Kofi Anan Peace Keeping Center» et d’apprendre quelques jours plus tard toujours à Accra que l’ancien Secrétaire général de l’ONU ayant fait construire ce centre en son honneur a estimé nécessaire de changer son identité à son retour au bercail pour s’appeler désormais «El Hadj Haruna Bukari Dabre» dans l’unique but de devenir un simple «Assembly Man» du District urbain de «Mamobi Area» à Accra. Cela me donna la confirmation personnelle de la nature hautement opportuniste du bounty nègre qui a jusqu’aujourd’hui des millions de Vies humaines irakiennes sur la conscience et que j’avais préalablement décrit avec forte précision dans les colonnes du journal panafricain «Regards africains» en 1997.
En apprenant fin 2010 à mon retour en SUISSE que le bounty nègre aux multiples nationalités occidentales devait entamer encore une fois sa traditionnelle «mission de bons offices» auprès du Président Ivoirien Laurent GBAGBO pour le persuader de «quitter le pouvoir» au profit du «président nègre élu par la communauté (occidentalement) internationale» Alassane Dramane Ouattara, ma très puissante intuition habituelle me dit que le nègre blanc Kofi Anan est à son deuxième coup de maitre, puisqu’il était celui-là même qui fit cyniquement pression sur le Président Ivoirien Laurent GBAGBO auparavant pour qu’il organise coûte que coûte sur recommandation des pays occidentaux une élection présidentielle apocalyptique dans une Côte d’Ivoire déchirée depuis 2002 par une cruelle guerre civile organisée par Alassane Dramane Ouattara.
Dans ce cas aussi, nous avons encore déployé dès Décembre 2010 notre plume habituellement acerbe dans les colonnes des Journaux en Ligne www.togocity.com et www.lynxtogo.info pour alerter que l’oiseau de mauvais augure aux multiples facettes qu’est le triste sieur Kofi Anan apporte l’apocalypse au paisible Peuple Ivoirien.
Ici encore les bons nègres de brousse ont failli nous crucifier pour avoir dit trop tôt les vrais enjeux néocolonialistes en cours en Côte d’Ivoire et prévenir du chaos infernal imminent.
Qui a dit que l’émotion n’est pas nègre et que la raison ne serait jamais nègre?
Car la haine gratuite de ces bons nègres de brousse envers la humble personne du Président Laurent GBAGBO les a tellement aveuglé qu’ils ne pouvaient pas voir venir le grand complot néocolonialiste occidental soigneusement et discrètement implémenté par les vulgaires bounties nègres de service de la trempe de Kofi Anan. Même les pluies de bombes françaises sur le Palais présidentiel de l’Etat Souverain de la République de Côte d’Ivoire le 11 Avril 2011 et sur les Populations civiles sans défense n’a pas pu désiler les yeux de ces bons nègres de brousse.
Il leur a fallu attendre Février/Mars 2012 avec le chaos généralisé créé dans toute la Côte d’Ivoire par les rebelles de Ouattara pour se rendre à l’évidence de la mission démoniaque et secrète incarnée par le sous-préfet néocolonial nègre Alassane Dramane Ouattara et par ses sinistres alliés néocoloniaux de l’ombre tels que le bounty nègre de service Kofi Anan.
Et puisqu’il n’y a jamais deux coups de maitre sans trois, le bounty nègre de service Kofi Anan a encore repris pour la troisième fois le poil de la bête depuis quelques jours pour annoncer tambour battant de vouloir encore entamer sa traditionnelle «mission de bons offices» auprès du Président syrien Bashar al-Assad en vue de le convaincre lui aussi de « quitter le pouvoir à travers le dialogue avec le Peuple syrien» (sic !) comme tous les pays occidentaux le lui ont déjà intimé à l’instar de ce qui fut intimé à Saddam Hussein, à Mouammar Kadhafi et à Laurent Gbagbo.
S’il est vrai que la Syrie n’est ni l’Irak, ni la Lybie et encore moins la Côte d’Ivoire et s’il est vrai que le contexte politique n’est pas le même ici et là, on peut aisément identifier pourtant la similitude très frappante dans les démarches diplomatiques discrètes et dans les méthodes subversives de déstabilisation qui précèdent toujours les guerres néocoloniales occidentales dénommées «guerre humanitaire» par un euphémisme cynique et abject.
On peut également identifier aisément le profil des sinistres hommes de main et des valets du système occidental de prédation planétaire qui sont habituellement des loups derrière la fourrure d’agneau.
Même si la Syrie et son Gouvernement ont fait preuve jusqu’ici d’une forte résistance grâce au Véto sino-russe, rien n’exclut que le bounty nègre de service Kofi Anan plaide fallacieusement en Syrie comme d’habitude pour la libre entrée des «convois humanitaires» d’origine occidentale qui ne sont en réalité «humanitaires» que de nom, puisqu’ils servent habituellement à faire entrer dans le pays visé du matériel de guerre et des unités militaires spéciales occidentales ou pro-occidentales destinées à déclencher les hostilités ou à renforcer et encadrer des manipulés locaux.
Il y a lieu d’espérer que les rares Gouvernements africains soucieux du bien-être de leurs Populations et de la prospérité de leur Pays sachent distinguer de tels loups nègres sous la fourrure d’agneau qui sont toujours prompts à se mettre en branle sur ordre de leurs commanditaires occidentaux dans le but de déstabiliser psychologiquement les Acteurs politiques de ces pays et de favoriser la mise en branle de l’invasion néocoloniale occidentale dans ces pays.
Et il y a lieu d’espérer également que les Acteurs politiques africains de la nouvelle génération ne soient plus de vulgaires chevilles ouvrières nègres au service d’une hégémonie néocoloniale occidentale qui tente vaille que vaille de sauver l’Occident de son déclin multiforme et évident actuellement en cours.
Baden (SUISSE), le 2 Mars 2012
[1] Contacts:
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