L’assassin de l’ambassadeur de la fédération de Russie en Turquie, était un membre de l’organisation terroriste de Jabhet Al-Sham (le Front du Levant) et avait fait partie d’une cellule policière spécialisée dans l’infiltration de combattants étrangers en Syrie entre les années 2014 et 2015. Ces opérations entraient dans le cadre des efforts de guerre hybride de l’Otan en vue de propager le chaos en Syrie et y faciliter un changement de régime.
L’ambassadeur Andrey Karlev à été très lâchement assassiné lors d’un vernissage à Ankara par Mevlut Mert Altintas, un policier anti-émeute stagiaire de 22 ans, partisan de l’organisation terroriste Daech. Ce dernier aurait suivi un cours spécialisé financé par un organisme US dans la théorie du Califat Islamique et comprenait la langue arabe.
Altintas était en relation avec 14 autres policiers, tous âgés de moins de 25 ans et dont certains sont de très fervents supporters du Salafisme saoudien. Neuf de ces policiers servaient jusqu’à hier dans des unités de protection rapprochée.
Kiev et Ryad ont eu toutes les peines du monde à cacher leur joie en apprenant l’assassinat du plénipotentiaire russe à Ankara.
À Moscou, Vladimir V. Poutine s’entretenait avec Serguei Lavrov, le brillant Chef de la diplomatie russe, quant un officier supérieur se présenta à lui, presque en courant, en lui tendant un pli confidentiel. En apprenant la nouvelle de l’assassinat, Poutine brisa son bureau en insultant Obama et fit voler en éclat une baie vitrée intérieure, faisant accourir les gardes. Il s’enferma dans son bureau pour plus d’une demi-heure, refusant tout contact avec le monde extérieur. En en sortant, il ordonna l’envoi de deux avions d’enquêteurs militaires à Ankara et la mobilisation de 95 avions de combat destinés à raser Al-Riqqa, la capitale autoproclamée de Daech, de la surface du globe.
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