Ivoiriens brûlés, pillés, martyrisés et sauvagement bastonnés: Cela se passe hors du territoire ivoirien dans un camp de réfugiés au « TOGO »! Les faits parlent d’eux-mêmes:
A l’image de son père biologique, disparu il y a quelques années les mains tâchées de sang, « FAURE EYADEMA » semble être rattrapé par l’instinct génétique prédateur de la lignée « EYADEMA » soutenu en cela, par une armée tribale constituée par (80 à 90%) de soldats de l’ethnie « KABYè » du nord du « TOGO ».
Ironie du sort, son père qui a dirigé le « TOGO » d’une main de fer pendant des décennies avait un faible pour les ivoiriens qui séjournaient au « TOGO » dans les années 80-90, une identification qui prenait sa source dans l’amour quasiment filial « houphouétiste »…
Malencontreusement, la dynastie « EYADEMA » semble avoir renvoyé aux calendes grecques les rapports passionnels entre le TOGO « ETIENNE GNASSINGBE EYADEMA » ET « HOUPHOUET BOIGNY », au vu des faits récents survenus dans un camp de réfugiés ivoiriens au « TOGO »: Habitations de fortune de réfugiés ivoiriens incendiés, femmes ivoiriennes sauvagement bastonnées pour servir des intérêts
obscurs…
(« RAPPEL DES FAITS »):
« ETIENNE GNASSINGBE EYADEMA », après avoir écourté des études primaires au niveau « CPE », est incorporé dans l’armée coloniale en tant qu’enfant de troupe dans les années 40, puis est recruté comme suppléant dans l’armée coloniale française pour aller combattre en « INDOCHINE »!
Quelques années après son retour de « l’Indochine », il réussira magistralement le premier coup d’état sanglant dans l’Afrique subsaharienne francophone en assassinant en (1963) le premier président du « TOGO » indépendant « OLYMPIO »!De sources concordantes, ingénu qu’il est , « EYADEMA » se confia sans gêne à la presse locale après son forfait en ses propres termes: « En Indochine, lorsque que vous tirez sur un individu il faut s’assurer de sa mort en le poignardant avec le sabre.. . C’est ce que je fis, lorsque le président « OLYMPIO » s’était réfugié dans une ambassade occidentale pendant mon coup d’état… Allez-y comprendre quelque chose!
Plus d’une décennie après sa disparition, son fils continue d’avoir aussi les mains tâchées de sang…
Le comble, il s’agit d’ivoiriens choyés naguère par son défunt père! Pis, il jeta il y a quelques années son propre frère en prison, l’accusant d’un pseudo coup d’état…Ainsi, va la dynastie « EYADEMA »! Mais, Pour combien de temps encore?
YVES T BOUAZO