Exclusive ! Ouattara négocie la reprise des exportations de Diamant ivoirien pour financer un projet secret !

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Les informations viennent de nous parvenir d’Israël. Et nous nous faisons le devoir de vous informer. Le voyage en Israël conduit dans la précipitation par Ouattara, a pour ordre du jour unique : la reprise de l’exportation du Diamant ivoirien.

 Mais pourquoi le Diamant, pourquoi Israël comme destination et non ailleurs, dans un autre pays ?

Suivez avec une attention particulière, les révélations exclusives que la Révolution Permanente fait sur ce voyage que certains patrons des milieux diplomatiques baptisent en rigolant « the blood diamond trip », c’est-à-dire, « le voyage du Diamant pour le sang ».

Le commerce du Diamant est contrôlé presque entièrement par le Lobby juif.  Qu’il s’agisse des importations qui partent vers l’Europe, les Etats Unis d’Amérique ou ailleurs dans le reste du monde, c’est le Lobby juif qui reçoit en dernière main, le Diamant exporté ou importé.

Depuis 2000, tirant les leçons des guerres civile en Sierra Leone et en Angola, lesquelles ont été financées par le commerce illicite du Diamant par les groupes rebelles, «  les pays producteurs de diamants d’Afrique australe se sont réunis à Kimberley, en Afrique du Sud, pour débattre des moyens à employer pour mettre un terme au commerce des « diamants de la guerre » et pour veiller à ce que le commerce des diamants ne finance pas les activités de mouvements rebelles violents et de leurs alliés visant à déstabiliser des gouvernements légitimes.

En décembre 2000, l’Assemblée générale des Nations Unies adopte une résolution historique en faveur de la création d’un cadre de certification international pour les diamants bruts. En novembre 2002, les négociations entre les gouvernements, des représentants de l’industrie internationale du diamant et des organisations de la société civile aboutissent à la création du système de certification du processus de Kimberley (SCPK). » Le « Processus de Kimberley » est alors né.

« Le système de certification du processus de Kimberley (SCPK) impose à ses Etats participants, de nombreuses conditions avant de leur permettre de certifier que la vente de diamants bruts ne sert pas à financer un conflit armé et d’éviter que les diamants des conflits n’arrivent sur le marché légal ».

Ainsi, depuis l’éclatement de la rébellion armée de 2002 et les premiers rapports des Renseignements américains sur le trafic illicite de Diamant entre le MPCI rebaptisé après Forces Nouvelles puis FRCI par Alassane Ouattara et les terroristes de AQMI, la Côte d’Ivoire sous le coup de sanctions des Nations Unies et ne fait pas de commerce de diamants bruts.

Or, aujourd’hui, le régime Ouattara est très asséché financièrement alors qu’il ambitionne de se maintenir au pouvoir dans un environnement de rejet quasi général manifesté par le peuple. En effet, en décembre 2011, les élections législatives organisées par le régime Ouattara et ses alliés du RHDP ont subi un désaveu cinglant du peuple ivoirien, qui a observé un taux d’abstention de 85 à 87%.

Depuis lors et quelques mois auparavant déjà, le régime Ouattara s’est lancé dans une politique d’épuration à la fois politique et ethnique qui a fini par plonger la Côte d’Ivoire dans une paupérisation généralisée avec son cortège de massacres de civils et d’affrontements entre mercenaires recrutés pour renverser Laurent GBAGBO et qui faute d’avoir été payé, ont décidé d’occuper les terres rurales de l’Ouest ivoirien en expropriant les autochtones pour créer un territoire de mercenaires à l’intérieur du territoire ivoirien.  Ainsi, ses seigneurs de la guerre, alliés hier à Ouattara, ont abattu 7 soldats des casques bleus de l’ONUCI, la mission de l’ONU en Côte d’Ivoire, après que ceux-ci ont tenté le vendredi 8 juin 2012 de se rapprocher de leur nouveau territoire conquis comme un butin de guerre pour rétribuer.

Dans un tel environnement délétère, où l’argent a fui les ménages ainsi que les caisses de l’Etat, la reprise du trafic du Diamant se présente au régime Ouattara comme la panacée. Au-delà des ressources financières que la reprise du commerce du Diamant pourrait rapporter à l’Etat ivoirien, Ouattara nourrit d’autres ambitions.

Selon des sources très introduites, Ouattara négocie la levée des sanctions prises contre la Côte d’Ivoire dans le cadre du Processus de Kimberley, afin de pouvoir établir deux types de commerce. Un commerce légal du Diamant qui serait comme la face visible de l’iceberg et un commerce illégal qui constituerait plus de 80% du trafic de Diamant d’origine ivoirienne.

Ces 80% de Diamant illicite devaient servir à payer des renseignements militaires, des armes de guerre et financer le budget des mercenaires burkinabés, togolais, maliens, sénégalais et libériens qui constituent sa milice privée depuis qu’il est constamment menacé par les 3000 mercenaires burkinabés notamment, qui ne faisant pas partie de l’armée régulière burnibaè, n’ont pu trouver aucun statut officiel auprès de Ouattara à la différence des militaires de carrière burkinabè qui forment aujourd’hui, avec les 500 togolais recrutés récemment, le GSPR (Groupe de Sécurité Présidentiel).

La question, devant toutes ces révélations, reste celle-ci : Israël se rendra-t-elle complice de ce projet de financement d’un génocide avec le Diamant ivoirien, en négociant pour le compte du régime Ouattara, la levée de l’interdiction de vendre le Diamant pris dans le cadre du Processus de Kimberley contre la Côte d’Ivoire ?

Seul l’avenir nous situera. En attendant, nous avons fait notre devoir d’informer l’Opinion nationale et Internationale sur les grands enjeux du voyage de Ouattara en Israël. Nous y reviendrons.

A Très bientôt.

Hassane Magued

 

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