Le monde assiste ahurissant, déconcertant à un hold-up de trop du clan Gnassingbé et ses collabos diablotins. Les togolais connaissent par cœur les manœuvres du car de l’avocat Yaovi Agboyigbo et sa récidive cette année encore à la CENI pour la non transparence des suffrages des togolais, les communiqués soutiens fourbes de maître APEVON et des ventrus-diablotins du parti CPP d’Edem Kodjo, de Yao Dégli, Batir le Togo « président du tout petit et riquiqui mouvement » adepte du scandale financier à l’international, de Kodjo Agbéyomé, l’assassin des togolais au Fréau Jardin et de l’officier rpt-unir Thierry Taama en mission, qui dans sa singularité donne devant le monde un spectacle singulier à l’intronisation honteuse d’un autre siècle de Faure Gnassingbé.
Une première dans le monde de voir un challenger battu aux élections avec un score minable venir danser avec le chef des gangs ouvertement sans scrupules devant le peuple et narguer avec arrogance ce peuple qu’il croit avoir vaincu et le faire accepter tous les affronts au rang de l’esclavage.
Tout le monde voit aujourd’hui la désinvolture trahison d’Abass Kaboua et tous ceux qui sont venus de rpt-unir pour nous dire « ehounon bévi trona djimé » « le fils du chef féticheur peut aussi changer ».
Avec des formules et des proverbes des peuples EWE/MINA ils sont venus à nous comme des soudards, des reîtres, pour se servir et abuser de notre hospitalité et refuser de se battre pour nos valeurs, les valeurs de la démocratie.
Nulle part dans le monde ce garçon ne pourra plus parler au nom du peuple mais nous sommes dans la cour des Gnassingbé.
On assiste médusé au Togo au bal des valeurs négatives, de certains avocats et des anciens de rpt reconvertis pour la situation en partis satellites ou filiales avec des subventions de l’état-rpt.
Les africains et le monde connaissaient Eyadema Etienne Gnassingbé, le malade psychologique, le mégalomane, l’homme paranoïa, le mal aimé des togolais, le dictateur, l’orphelin paysan sergent colonial, ils découvrent le vrai visage de son fils Faure, notre baby doc togolais, le psychotique, le fourbe, le sournois, le faux, l’homme qui feint l’honnêteté.
Faure Gnassingbé, l’homme de 2005, s’est caché derrière son frère Kpatcha et certains officiers de l’armée togolaise, pour refuser d’endosser les crimes immondes et lâches qui lui ont permis de s’emparer du fauteuil du vieux dictateur Eyadema, le voilà seul comme un voleur que le monde entier arrête le butin dans la main, et qui croit continuer à mentir sans se soucier un instant du regard qui est posé sur lui de part et d’autre, sur sa nature humaine le plus grossier qui n’est même pas comparable au noble caractère du chien.
On trouve chez lui, que la cupidité, l’égoïsme, la cruauté, son personnage est n’a ni don de soi, ni de l’amour, ni gratitude, ni pitié, c’est une pierre brute qu’on ne peut pas dégrossir donc combattons le avec les mêmes armes.
Chers compatriotes, ce dernier feuilleton du hold-up électoral, le crime imprescriptible, le dernier coup d’état montre la haine de ces personnages mafieux à l’endroit du peuple togolais qu’ils veulent tenir dans l’esclavage au XXI siècle.
A*Jusqu’à la victoire.
Peuples du Togo, diaspora togolaise, la nuit est longue mais le jour vient, le regard du monde entier est posé sur nous, notre faiblesse est montrée comme un étendard de peurs, de manque d’intelligence, de manque de dignité, de couardise, alors relevons ce défi, comme des êtres normaux, prenons les exemples de part le monde, en Amérique latine, en Asie, au proche orient, en Afrique et chez les afro-américains.
Nous pouvons tenir la résistance jusqu’à la révolution totale pour chasser du pouvoir cette horde de criminels économiques et de sang, qui ont abimé nos êtres et profaner nos coutumes.
Les togolais ont tout essayé par la raison, par la négociation, par des accords signés du père et du fils pour l’apaisement, la paix, le progrès et la bonne gestion des patrimoines du pays et sa répartition.
Le clan Gnassingbé depuis 50 ans refuse tout, il n’y a eu aucun début d’application des accords, ce clan utilise le mensonge, la mascarade, la fourberie, la corruption à une échelle exponentielle, viole les résolutions des nations-unies, torture, tout cela dans une impunité totale.
La cour constitutionnelle et la justice togolaise n’existent que par nom, et non comme des institutions républicaines.
Les juges de la cour constitutionnelle dans leur toge ressemblent plus à des zombis, des cadavres victimes d’un sortilège vaudou de pya, village du clan Gnassingbé qu’à des hommes susceptibles du savoir juridique, de la sagesse humaine.
La promotion canapé et l’arbitraire sont devenus le quotidien, le cauchemar de tous les togolais, où l’on mélange la tragédie d’un jour à l’anéantissement d’une vie.
Peuple togolais, notre constitution dans son article 150 nous autorise de nous délivrer de l’esclavage, de la dictature, de l’exploitation éhontée du clan Gnassingbé.
Alors combattons comme « intifada » ou « Ekpémogue » soulevons-nous, faisons la guerre de la pierre contre les fantassins de la dictature pour faire entendre notre colère au monde, ne retenons plus notre colère, notre détermination.
Bravons notre peur et demandons honnêtement au CAP 2015 et à son candidat s’ils veulent exercer le mandat que le peuple leur a confié ou démissionner officiellement devant le peuple.
Nous refusons que Jean Pierre FABRE et le CAP 2015 cantonnent le peuple togolais désabusé par Gilchrist Olympio, Yao Agboyigbo, Léopord Nininvi, Edem Kodjo, qui ont signé une rente à vie avec le clan Gnassingbé traumatisent à nouveau ce vaillant peuple qui croit en eux en cette période de son histoire, en faisant gagner du temps à Faure Gnassingbé par des maladresses, par des lobbies franc-africains, pour constater encore un échec de la lutte.
Peuples du Togo, aucune lutte n’a duré aussi longtemps, même la sortie des juifs de l’Egypte pour la terre promise n’a durée que 40 ans, alors que le père Eyadema Gnassingbé avait eu un pouvoir à vie, le fils souhaite la même fin.
Le cap 2015 devrait lancer un appel ce 16 mai 2015, à la population pour participer massivement à des manifestations et au financement de la lutte à la diaspora pour faire partir ces criminels du pouvoir.
Ils ont usé de tous les artifices, l’église est salie, la communauté internationale n’est plus crédible aux yeux des togolais, la cédéao est manipulée et les togolais doutent au lieu de laisser exploser comme une Vésuve leur colère.
Conclusion :
Peuples togolais, toi « TEM, EWE, MINA, OUATCHI, AKPOSSO, CABYE, LOSSO, IFE, BASSAR, MOBA»
Ne fuyons pas ! Prenons notre courage à deux mains et affrontons les fantassins de la dictature : soyons brave et téméraire !
Faisons échec aux manœuvres diaboliques de clan Gnassingbé et de son ministre conseiller Charles–Debbash Koffi Souza, repris de justice en France.
“Jean Pierre Fabre, la valeur d’un leadership élu par son peuple réside dans sa stratégie et dans son courage.
Le courage est la première des qualités humaines car elle garantit toutes les autres alors que quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part.”
Jacob ATA-AYI