Selon des images et témoignages publiés ce 31 octobre 2014 par des Webreporters dignes de foi, des billets de banque, butins du pillage des agences de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) découverts par les manifestants chez une proche du couple Compaoré.
La chute de l’ex-président Blaise Compaoré a tellement surpris ses proches et amis qu’ils n’ont pas eu le temps de faire le ménage avant de fuir le Burkina Faso. Les manifestants anti-Compaoré, dans leur mouvement de colère pour déloger « ceux qui ont embrigadé le peuple burkinabé depuis 27ans », ont fait des découvertes inattendues, hier.
Selon des images et témoignages publiés ce 31 octobre 2014 par des Webreporters dignes de foi, des billets de banque, butins du pillage des agences de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) découverts par les manifestants chez une proche du couple Compaoré.
Dans les locaux de la Société de Mamou DOUKOURE, proche de l’ex-Président Blaise Compaoré et de sa femme Chantal Compaoré, les manifestants découvrent plusieurs sacs remplis de billets de Banque inutilisables parce que marqués, butin des pillages le 24 Septembre 2003 des agences locales de Bouaké, Korhogo et Man de la BCEAO lors de la crise ivoirienne, par les rebelles de Ouattara. La valeur de ses billets de banque serait estimée à plus de 720 millions de FCFA soit plus de 1,5million de dollars US.
Il était déjà clairement établi que les criminels de guerre proOuattara recrutés pour déstabiliser de la Côte d’Ivoire ont été formés et équipés au Burkina Faso, sous le regard bienveillant de l’ex-Président Blaise Compaoré. La découverte des billets de banque à Ouagadougou chez une proche de Blaise et Chantal Compaoré, butin du pillage des agences de BCEAO le 24 Septembre 2003 par les rebelles des Forces Nouvelles en Côte d’Ivoire, est une autre preuve de la parfaite collaboration entre Blaise Compaoré et les criminels de guerre à la solde de Ouattara qui ont endeuillé la Côte d’Ivoire. Ils sont aujourd’hui au pouvoir en Côte d’Ivoire avec leur Chef Ouattara, ces criminels pilleurs de BCEAO, à savoir, Soro Guillaume, Cherif Ousmane, Koné Zakaria et autres.
En attendant la réaction de la BCEAO sur la découverte à Ouagadougou de cet important butin du pillage de ses agences de Bouaké, Korhogo et Man, l’on continue toujours de se demander comment des criminels comme les rebelles proOuattara peuvent-ils être encore et toujours soutenus par la communauté dite internationale.
Alain Doh Bi