Tribalisme chez les FAT. Le Cmdt Ouadja triché. Le médiocre Awizoba fait capitaine !

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Une sorte d’épée de Damoclès plane à chaque instant sur la tête des populations togolaises. Et pour cause, l’armée de leur pays est dans les mains d’individus aux réflexes primaires, archaïques et toujours prompts à verser dans le mal et la méchanceté. Une bande de médiocres qui malheureusement, gardent les leviers de commandement de ce qui reste aujourd’hui de l’armée des Gnassingbé. Nous n’inventons rien, les faits d’armes et les comportements chaque jour que Dieu fait de certains éléments de cette armée, malheureusement ils sont les plus nombreux, sont là pour en témoigner. Des éléments aux comportements primaires à la limite de la sauvagerie qui n’ont que la force brute et la méchanceté comme modes d’action, l’armée du Togo en compte en nombre considérable. Les brillants, les bons et les courageux, les Forces Armées Togolaises (FAT) en recèlent très peu. D’où le problème de cette armée dont la plupart ne sont dotés que de petites cervelles, des individus ayant pour principale préoccupation le mal. Une bande de médiocres et de lâches qui n’hésitent pas à user de la manière forte à la moindre contestation du peuple. Les mêmes qui sont là à chaque fois à créer des ennuis à leurs frères d’armes parce que ceux-ci sont meilleurs qu’eux. Un petit exemple parmi tant d’autres pour montrer à la face du monde le mode opératoire pernicieux de ces médiocres de l’armée togolaise.

Le bassari médecin commandant Franck Ouadja, l’un des meilleurs de sa génération, reçoit une autorisation dûment signée de ses supérieurs hiérarchiques pour aller suivre une formation de perfectionnement dans son domaine en Europe (il est chirurgien militaire). Il finit sa formation et rentre au bercail pour faire valoir ses aptitudes. Une fois au pays, patatras, les médiocres jaloux de ses acquis, montent un coup contre lui sous le prétexte fallacieux qu’il a été déserteur. Ses ennuis devraient ainsi commencer n’eût été l’intervention de l’un de ses frères qui a pris sur lui d’emmener l’affaire au plus haut niveau, à la Présidence devant Faure himself qui a fini par trancher en faveur du pauvre médecin commandant. « Cela ne m’étonne pas du tout. Ils sont comme ça, mauvais et méchants. Ils ne supportent pas surtout ceux qui les dépassent en intelligence et qui brillent de mille feux. Si tu n’as pas les reins solides, ils feront tout pour te broyer… », confie avec un brin de colère un officier qui a requis l’anonymat.

Ce n’est pas une invention du Lynx mais ceci est une réalité vivante au Togo. Ceux qui connaissent bien l’affaire du médecin commandant Franck Ouadja pourront en témoigner pour les plus curieux qui le voudraient. Supposons que ce médecin commandant n’ait personne pour l’aider à porter l’affaire plus loin. Ils sont nombreux à vivre la frustration et l’injustice au sein de l’armée, des laissés pour compte qui même brillants, ne savent à quel saint se vouer.

Forces Armées Togolaises : Le paradis des médiocres !

Les médiocres faisant la loi, pas d’issue pour eux sauf s’ils se transforment aussi en médiocres pour survivre dans la jungle des fous. L’ex ministre de l’intérieur Akila Esso Boko qui a dû prendre ses jambes au cou pour sauver sa vie sait de quoi nous parlons pour avoir été lui-même victime de plusieurs montages venant des laboratoires de ces médiocres devant l’éternel. A la gendarmerie nationale, nous en connaissons particulièrement un pour avoir fait les mêmes classes au Lycée Sainte Marie (Sokodé) que lui. En classe, cet individu appelé Awizoba (kabyè), avait l’une des têtes les plus glacées, son intelligence était dormante ou inexistante, c’est selon. Mais aujourd’hui, cet homme est capitaine des FAT. Les camarades de lycée qui ont appris sa situation n’en reviennent pas toujours. Ils se demandent par quelle alchimie cet individu peut réussir à un concours de la gendarmerie et atteindre un tel grade de capitaine en un si laps de temps. Et puis, le comble, cet individu est l’un des plus « gonflés » de la gendarmerie nationale togolaise. Il se reconnaîtra sûrement.  Ils sont forts dans la triche, le « pousse-pousse » mais lorsque l’on les cherche pour aller au front, les voilà fuyant leurs responsabilités. Pendant que l’on y est, actuellement, les « garçons togolais» prêts pour aller combattre au Mali aux côtés des forces de ce pays, se font trop désirer. Ils prétextent déjà de fictives maladies pour se dérober à cette mission périlleuse dans les sables mouvants du nord du Mali. Mais pour zigouiller les Togolais aux mains nues, ces médiocres sont forts comme il n’est pas permis !

Nöel Tchango Lynx.info

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