Diaspora Togolaise « N’ayons plus froid aux yeux »
Nous, nous ne cachons pas nos idées qui sont universelles, républicaines et démocratiques, garantissant la sécurité et la justice pour chaque citoyen.
Je parie que les galvaudeux colporteux sont bien de mèches avec le monstre, le petit léopard qui a la queue tachetée comme ses parents.
Ils sont de retour avec des textes galvaudés, des expressions, comparant le fasciste tropical togolais à la démocratie, ou même à la démocratie la plus ancienne du monde de la grande Bretagne, l’incomparable raz de marée du parti conservateur anglais à un hold-up public, à la TVT togolais.
Ceux qui nous parlent de démocratie, d’élection prochaine alors que le cadavre du hold-up est encore très chaud par terre, nous convie déjà au festin du bal d’un hold-up en 2020, sans appeler le peuple togolais à sortir comme au Burkina-faso, au RD Congo.
Hier, ils venaient à nos côtés pour nous dire il faut sécuriser les bureaux de vote, les bureaux de vote sont sécurisés, ils n’ont plus d’argument, ils sont finis par le refus de la signature à Accra du Togo, et de la Gambie du mémorandum de la limitation du mandat présidentiel dans la CEDEAO.
Faure Gnassingbé, veut éclaircir le débat politique en les demandant de venir le soutenir directement, ouvertement, pour montrer au monde qu’il y a du monde avec lui à part Gilchrist Olympio, qui dans sa traitrise a eu le courage de le faire ouvertement.
D’ailleurs, ils sont les amis de nuit de Gilchrist Olympio, à Paris avec un groupe dirigé par une certaine « nanangan » appuyée dans sa diatribe sournoise contre le peuple sur les antennes des médias, en distribuant la note de non clairvoyant un coup aux courageux et la note de lumière aux diablotins collabos, alors qu’elle-même est dans l’obscurité, en prônant l’obscurantisme, en freinant de tout côté les imitatives des combattants de la liberté, avec des négociations nocturnes avec le rpt-unir pendant 5 ans pour les réformes sans aucun résultat malgré le tapis rouge déroulé où trônent les cadres de nos citoyens, les désespoirs de nos mamans, de nos sœurs des marchés brulés.
Togolaise, Togolais, la confiance fait de nous des cocus, avec l’étendard de l’africain l’imbécile du continent, du simple rire à l’applaudimètre de moqueries, nous sommes devenus des êtres méprisables qui ne réfléchissent pas à cause des gargantuas de cupidité, de crimes de sang, de torture, de règlement de compte obscur pour leurs égos démesurés, déformés, malades.
Chers compatriotes togolais, la définition du terme démocratie ( du grec ancien δημοκρατία / dēmokratía, aujourd’hui souvent interprété comme « souveraineté du peuple », combinaison de δῆμος / dêmos, « peuple » et κράτος / krátos, « pouvoir », ou encore kratein, « commander »), est le régime politique dans lequel le peuple a le pouvoir (avec la distinction à faire entre la notion de «peuple» et celle plus restrictive de « citoyens » : en effet la citoyenneté n’est pas forcément accordée à l’ensemble de la population). La première démocratie connue est la démocratie athénienne avec comme bases primordiales l’assemblée générale des citoyens et le tirage au sort en politique.
Selon la célèbre formule d‘Abraham Lincoln (16e président des États-Unis de 1860 à 1865) prononcée lors du discours de Gettysburg, la démocratie est « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». C’est l’une des définitions canoniques couramment reprises.
Chers compatriotes, il n’est marqué nulle part que la démocratie est le hold-up qui est un crime imprescriptible, un coup d’état d’une minorité au détriment de la majorité.
Le masque est tombé,
A*LE LONG CHEMIN DE LA NON CONFIANCE DU PEUPLE TOGOLAIS AU RPT-UNIR
Des peurs répétés ont crée chez le togolais une inadaptation profonde, un état de malaise profond, générateur de crise de l’angoisse, une attente douloureuse de la trahison du rpt-unir, de ses collabos, de manque de confiance qui se manifeste par l’anxiété, une sensation discrète de peur à l’appréhension de l’avenir.
Ce manque de confiance chez les tenants du bâton et des coups de cross sur le sujet togolais est le pressentiment de l’insolite négatif et l’attente de l’insécurité, vestige du néant et l’inespérance d’une plénitude.
Elle est la crainte placée au cœur des réflexions populaires au Togo et dans la diaspora.
La confiance qui manque au clan des Gnassingbé est le symbole du destin du peuple togolais, l’expression de son inquiétude métaphysique, la contrepartie de sa liberté.
Les mandatés du gouvernement de fait du Togo, sont tous illégitimes, pour ne pas eu l’onction légitime du peuple togolais.
Comment peut-on venir parler à des togolais cadres, qui vivent dans une démocratie, le même langage de bois qu’ils servent aux militants du Rpt-Unir.
Le propre du rpt-unir, c’est la conjugaison de la violence, de la manipulation et de l’arbitraire, donc je suis très étonné de voir certains membres de la diaspora se prêter aux jeux dangereux de ce parti qui dénonce ses concitoyens, fuyant la misère, l’insécurité, une vie normale, pour faire valoir ses discours dans les instances internationales, dans les associations, dans les ONG.
Au Togo des Gnassingbé et de leur clan, l’expression « maladies de civilisations » le manque de crédit, le mensonge, la tromperie, l’abus de confiance est devenue familière au togolais.
Les Togolais ont une accumulation d’agressions, de peurs, de stress émotionnels par la gestion macroéconomique de ce régime, qui viole la parole d’un officier, d’un président, les accords de colmar à la conclusion de la « Vérité, justice et réconciliation » « à la confiance de l’innocent un atout maître menteur, d’un mythomane. »
Mes chers compatriotes la confiance est une sorte de foi, de crédit, d’espérance, de sécurité, alors que le régime militaire des Gnassingbé et son clan ne nous accordent ni l’espérance, ni la foi.
Ce régime nous a servi la pauvreté, l’exil, le gourdin, la torture, la prison, le licenciement et l’harcèlement policier depuis bientôt 50 ans.
Membres de la diaspora la confiance est un phénomène naturel à l’homme, à une institution, moteur de son évolution, elle est positive parce que c’est un pari dans l’autre, elle prévoit les menaces et stimule la mobilisation de l’homme.
Il est impossible de conserver son équilibre interne en affrontant une angoisse flottante, infinie et indéfinissable si la peur est tout temps permanente pour diminuer vos compétences, vos réflexions, vos reflexes, pour se donner aux missions, aux projets de développement.
Pour conclure,
Peuples Togolais dans toute sa composante, Diaspora Togolaise « N’ayons plus froid aux yeux ». Fonçons sans redouter les coups, sans crainte du danger dans la solidarité en écartant les collabos comme au Burkina-Faso.
Vive la résistance, vive la révolution, vive la liberté, soyons tous des téméraires pour étonner nos ennemis.
Jacob ATA-AYI