Le fieffé menteur Dramane Ouattara Alassane avait justifié la guerre de 2010 et 2011 en reprochant à Laurent Koudou Gbagbo de vouloir s’éterniser au pouvoir alors que ce dernier demandait simplement un recomptage des voix à l’issue de la présidentielle d’octobre 2010. Aidé par la France, la mafieuse ONU, le dictateur chassé par la rue Blaise Compaoré, l’ex magnat de la « République de l’Hôtel du Golfe d’Abidjan » devenu par la force des armes le premier des Ivoiriens, se mettant dans la peau d’un démocrate, avait enfariné le monde entier faisant croire qu’il allait céder le pouvoir au bout de 10 ans.
Comme je l’avais annoncé dans des publications précédentes, ADO avec tout son réseau dans les milieux français, savait depuis belle lurette que le pronostic vital de son « pantin » Amadou Gon Coulibaly était engagé et avait fait exprès de l’adouber comme successeur afin de se positionner pour octobre 2020 sâchant pertinemment que le pauvre allait passer de vie à trépas avant l’élection presidentielle. Personne n’y avait crû.
La stupeur que suscite aujourd’hui sa candidature est soit une hypocrisie, soit une naïveté mais pas de ceux qui maîtrisent les faits d’armes du menteur Ouattara. D’ailleurs cette page avait mis côte à côte ses nombreuses déclarations et contradictions notamment sur le franc Cfa, sur la Côte-d’Ivoire, sur la Cedeao, sur ses relations avec la France et la liste de ses mensonges est aussi longue que le cou d’un girafle.
En dehors des déclarations politiques de condamnation, les artistes prennent le relais en l’occurrence le très célèbre #MEIWAY qui sans langue de bois, demande à ADO de renoncer à ce mandat suicidaire qui risque de plonger le pays dans le chaos.
La seule « récompense » des Ivoiriens et des #ADOlâtres est que le gueulard patenté Johnny Pacheco Anthony va prendre du galon dans ses diatribes pro Ouattara, reprendre du service et les gaver de ses conneries, une joyeuseté qu’ils vont savourer devant des bouteilles de bière.