« Cette question des pro-vaccins et anti-vaccins, c’est une bêtise », recadre-t-il.
« J’ai été dans un ministère où ils étaient tous à fond anti-vaccins […] C’était juste après Kouchner avec sa bêtise de l’hépatite B. Et, moi, je disais, il faut reprendre les choses calmement », dit-t-il. En bref, suite à cet épisode tout le cabinet pensait que le Pr. Raoult était pour un lobby pharmaceutique vaccinal.
Inversement, il explique : « Après quand vous dites que l’on est en train de faire des bêtises avec le vaccin contre la poliomyélite, que ça fait deux ans qu’il y a plus de poliomyélite vaccinale que de poliomyélite naturelle, on dit : « Il est anti-vaccin. » Non, je dis que je suis scientifique ; ce n’est pas une idéologie. La science, c’est autre chose. C’est juste de la connaissance. La connaissance, c’est à chaque fois que l’on pose la question d’un vaccin : quel est le risque, quel est le bénéfice ? Sans risque, il n’y a rien. Donc, si vous avez zéro bénéfice, la balance bénéfice risque est insupportable. Si vous avez un grand bénéfice, vous pouvez supporter des risques qui sont raisonnables. »
Il ajoute : « La FDA* a écrit : « Nous ne validerons un vaccin que si il n’y a pas de traitement qui marche ». Ce qui explique aussi, en partie, la guerre contre l’hydroxychloroquine. Parce qu’il faudra bien expliquer cette guerre complètement folle, complètement délirante contre l’hydroxychloroquine. Comment est-ce qu’on peut même défendre l’idée qu’un médicament qui a été pris par 2 milliards de personnes est devenu en 2020 toxique ? Comment ça a pu être défendu même dans les plus grands journaux du monde ? »