Un, deux et trois et voilà le poing d’Elliot Ohin au ciel ! Le Togo est après 45 années, membre non-permanent à l’ONU. Pour un poste rotatif de un an, une grande victoire pour la pègre et ses apparatchiks. Dans les faits, il n’y avait aucun concurrent. Mais le pouvoir de Faure en avait si besoin pour sa grande propagande. Allez aux Etats-Unis, pour un siège de non-permanant aux Nations Unies est aussi une question de perdiems et de frais de mission pour la bande à Ohin, ministre des Affaires Etrangères du Togo. On dort dans les hôtels dû à son rang de « vaurien » de la république. On sable le champagne et on emporte la petite fille du coin pour ses orgies. Tout est au frais du contribuable togolais. Il suffit de faire un exercice de curiosité pour noter les prostituées qui envahissent les hôtels de nos responsables quand ils sont dans la cité pour se convaincre, qu’entre eux, et Dominique Strauss-Kahn, il n’y a qu’un pas. Mais un siège aux Nations Unies, que tire sincèrement le Togo en tant qu’ Etat avec ce « machin » ?
Quand la France est aux anges avec le siège du Togo
Dans le fond, le Togo ne tire rien. Il vient s’asseoir tous les trois mois au siège des Nations-Unies pour écouter les autres parler et prendre acte. Aucune décision responsable ne peut être prise d’autant plus que ni Faure ni ses ministres moins son peuple n’a pas fabriqué la poudre à canon et est depuis incapable d’éradiquer les moustiques dans les étangs dans leur pays. Comme il fallait s’y attendre,c’est la France à travers son ambassadeur à Lomé qui a sablé du champagne dans ses jardins : « La présence du Togo au sein du Conseil de Sécurité, aux côtés de la France, sera l’occasion d’intensifier nos relations politiques à Lomé, Paris et New York. Elle renforcera également la présence francophone sur la scène diplomatique mondiale ». Pour un siège de membre non-permanent à l’ONU du Togo, la France fait d’une lancée, deux coups. On rêve de la grandeur de la francophonie dans un giron anglophone et ensuite on apprête déjà les esprits pour un « oui » retentissant quand le monde civilisé envahira l’Iran, la Syrie. Dans les faits, voilà pourquoi la France a fait sa campagne de bout en bout pour la pègre de Lomé. Bien pire, quand il s’agit de nettoyer la présidence ivoirienne, comme par hasard, on avait réveillé l’ex génocidaire du Rwanda Gnakoudé Béréna pour le sale boulot. Un message de la France pour le travail bien fait de la troupe togolaise viendra donner le sourire aux nègres. La presse à Lomé ne tarie pas d’éloges à la « Licorne Noire » versus Togolaise les désignant de « Braves ». Mais à quel pays profite ce banditisme de l’Onu sous les tropiques ?, Personne ne semble plus être intéressée à la reponse. Les mentalités sont formatés à suivre à la moutonnière la « Grande Nation ».
Quand on sait que les voix du Gabon, du Nigéria et de l’Afrique du Sud avaient servi, il y a seulement six mois à mater Laurent Gbagbo et ensuite Mouammar Kadhafi, on peut aisément dire que la « croisade » contre le monde par les Occidentaux n’est pas encore achevée. Il fallait un pays dont les dirigeants réfléchissent comme les Daltons. Et il y a un pays, qui a depuis toujours fait ses preuves : le Togo !
Djima Matapari Lynx.info