Guia ! Les revoilà nos « opposants-composants » dans leurs errements. Ils, [Ndlr, opposants togolais] souffrent de tous les maux qu’on a même plus envie de les entendre nous parler, faute de se contaminer par leurs tares… La logique et le bon sens ont aussi depuis quitté la république. On ne veut pas faire la politique de la chaise vide mais on a rien à offrir à la place de la chaise vide. D’autant plus que, le parti de celui qui lâche ces mots est une coquille vide, on devient fou à force de l’écouter, de l’entendre. Devenu la risée de la nation, notre Nicolas ne se rend même plus compte.
Alors qu’on pensait qu’il allait grandir pour une fois dans sa manière de faire la politique, c’est toujours les mêmes comportements, les mêmes « imbécilités », le même amateurisme. Pour lui, crier à hue et à dia dans les médias nationaux comme internationaux font déjà de lui un opposant inconditionnel du pouvoir en place. Il oublie même que depuis 22ans, qu’il « crie » et « bouffe » en même temps, le peuple le regarde. Que nenni ! Le ridicule aussi a depuis quitté la maison Togo. Alors que, ceux qui crient être plus populaires que leur ombre n’ont jamais pu faire le plein d’une salle de spectacle, ils pensent toujours que le peuple est bête et ne sait pas qu’ils ne représentent rien sur l’échiquier national politique. Oui ! Nicolas Lawson ne représente rien comme politique et ne se fait pas aussi de doute sur son impopularité. Il a aidé Joseph Kokou Koffigoh à la primature comme conseiller pour le résultat que nous connaissons tous. Il a dû même jeter son passeport français pour se positionner comme celui-là qui aime son pays. A la fin des élections présidentielles pour lesquelles il l’avait fait, rien de nouveau sous le soleil. Il s’est replié sur lui-même et a beaucoup jasé sur les affaires qu’il fait dans le monde entier. Là aussi patatras ! L’homme aime les coups fourrés. Menteur le jour, « conseiller d’Eyadema » la nuit selon ses propres mots. Dans les avions, beaucoup se souviennent de sa tonitruante voix qui perçait les tympans : « Je suis le conseiller d’Eyadema ». Roulé dans la farine par ce dernier sur une nomination comme premier ministre qui n’est jamais arrivée, il a fini par se convaincre que le généralissime dictateur avait mille et un « tricks » que lui. C’est un peu l’histoire de l’arroseur arrosé en somme. Passons. Dans les pays respectables, Nicolas Lawson est un homme dangereux dans la cité et sur lequel tout procureur, comme tout juge indélicat devrait braquer les yeux. Au Togo, voilà le type d’opposant qui demande qu’on le respecte…qu’on le magnifie. Nicolas qui croit jouer au plus malin, au plus fin, n’est que l’ombre de lui même. Au delà de tout ce tintamarre journalier dans les médias, un médiocre politique. Sinon, comment peut-on dire qu’on ne fera pas la politique de la chaise vide quand on sait qu’on va pour perdre aux élections parce que les dés sont déjà pipés faute d’un consensus sur le code électoral ? Notre national va-t-il nous dire qu’il va à Canossa rien que pour perdre ? Humilié au Ghana par une pauvre femme, jeté en prison dans ce pays comme un vulgaire bandit, il est aussi connu au Togo comme un mauvais locataire. La preuve, les loyers impayés sont toujours d’actualité…et attendent. Pour autant, notre « national » Lawson n’en a cure. Pis, il croit en son destin comme fer. N’a t-il pas dit à la pauvre commerçante ghanéenne qu’il était au Togo le plus populaire des opposants ?
Une seule question à Nicolas. Les Togolais veulent savoir de quoi vous vivez ? Ils veulent aussi savoir qui paye la facture et le coût des élections que vous ne cessez de participer depuis 2003 et qui se soldent toujours par des pertes ? Savez-vous que, depuis cette date vous n’avez jamais dépassé les 2 % aux élections ? Qu’est ce qui vous donne l’ordre de parler fort, là où, vous êtes appelé à passer inaperçu faute d’un électorat qui ne dépasse pas toujours 1% ? Il ne faut pas prendre tout le peuple togolais pour une bande de « dozos » ivoiriens incapables de repérer le lieu d’où ils viennent. De quoi vit notre Nicolas depuis qu’il n’est plus homme d’affaires ? Pourquoi aime t-il crié « Faure » quand il sait qu’il ne représente rien sur le plan politique? Autant de questions qui donnent aussi lieu à savoir que le financier de ses sautes d’humeur n’est pas aussi loin… si ce n’est, ceux caler au sommet de la république. La petite histoire raconte que en Europe, ce sont justement la droite qui finance l’extrême droite. On ne le dit pas assez ! Au Togo, notre Faure national finance notre grande gueule de la république.
De nos investigations, Nicolas Lawson est un homme des réseaux françafricains, un agent secret aux intérêts obscurs avec un cahier de charges bien précis. Et le grand bruit qu’il fait depuis le père comme avec le fils Gnassingbé n’est pas anodin. Bien au contraire… En criant beaucoup, il donne un quitus sur le plan international à Faure comme quoi la démocratie est bien en marche au Togo. La preuve, depuis qu’il crie, Faure ne l’a jamais inquiété. Aussi, en criant déjà qu’il ira aux élections législatives pour ne pas « faire la politique de la chaise vide », une manière très sibylline pour lui de montrer et de dire à cette « sulfureuse » communauté international que la cause pour laquelle le cortège de « Sauvons le Togo » dirigé par Me Adjavon Zeus qui bat le record de marches de protestation pour un code électoral plus juste, n’est pas si grave que cela.
Au final, on se demande, si Pascal Bodjona n’est pas celui-là qui le met sur orbite… d’autant plus que, c’est ce dernier qui avait brassé d’un coup de tête 10.000 dollars pour payer la caution demandée par la justice pour que Nicolas se sépare des geôles ghanéennes ?
Le Togo se portera mieux le jour où le peuple aura compris que, ce n’est pas ceux qui dirigent actuellement le Togo qui sont malhonnêtes mais bien ceux qui luttent pour y venir au pouvoir. Je veux parler des opposants togolais ! Et Nicolas Lawson en est un échantillon du drame !
Djima Matapari Lynx.info