Aujourd’hui, c’est un peu plus de 500 mercenaires togolais déguisés en soldats ivoiriens membres du GSPR (Groupe de Sécurité Présidentiel) et du CCDO (Centre de Coordination des Décisions Opérationnelles), deux conglomérats de mercenaires du Burkina Faso et du Togo, au service de l’imposteur Mossi Dramane Ouattara, qui sévissent en Côte d’Ivoire pour aider à parfaire la déconstruction de ce pays qui aura pourtant tout donné à l’Afrique de l’Ouest.
Ce 3 mai 2013, après une série d’actes d’humiliation imposés aux ivoiriennes réfugiées dans au Togo, c’est avec grande consternation que nous apprenons la mise à feu par les tirailleurs togolais du Camp d’Avépozo, jetant femmes et enfants dans la nature, livrés à eux-mêmes et à la mort.
De sources très concordantes, cette mise à mort à petit feu de pauvres femmes et enfants ayant fui la mort dans une Côte d’Ivoire repeuplées de pillards et de génocidaires aux ordres de la France, a été ordonnée par Faure Gnassingbé lui-même, comme pour matérialiser les derniers accords passés la semaine dernière à Yamoussoukro lors du sommet des 3 malfaiteurs de l’Afrique de l’Ouest à savoir, Dramane Ouattra, Blaise Compaoré, Faure Gnassingbé.
Nous prenons acte de cet acte de guerre contre un peuple qui ne veut que vivre dans la dignité mais qui est contraint d’abandonner ses terres ancestrales occupées, d’abandonner emplois et commerces pour vivre de misère dans le dénuement le plus total dans un Togo politique ennemi des Ivoiriens comme de son propre peuple.
Mais nous tenons à prendre le peuple togolais et l’opinion africaine à témoin pour dire que les Ivoiriens sauront se souvenir de l’activisme ivoirophobe des Gnassingbé, tortionnaires du peuple togolais.
Nous savons qu’un individu comme Faure Gnassigbé qui n’éprouve aucun remord à tuer père, frères et sœurs, compatriotes et serviteurs aux ordres, n’aura aucun remord à commercer avec un mythomane imposteur voltaïque et à se faire rémunérer avec le produit des impôts parallèles d’un montant mensuel de 100 milliards de francs CFA imposés et extorqués par Dramane Ouattara aux hommes d’affaires libanais vivant en Côte d’Ivoire. Non. Il n’aura aucun remord.
Mais comme un boomerang, le mal fait par les Gnassigbé et leur armée tribale de tirailleurs, reviendra sur les terres du Togo avec une contribution sans gène et sans remord de la Révolution Permanente.
Nous en faisons le serment au Peuple togolais, otage humilié et maintenu dans la pauvreté par une famille de vauriens dont la seule compétence réside dans les meurtres et la violence gratuite.
Comme le disent les anglais « What goes around comes around ».
A Très Bientôt.
Hassane Magued