Le phénomène de l’homosexualité

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  Le débat sur le phénomène de l’homosexualité refait surface, en France avec la loi qui tend à codifier le droit et la liberté du mariage entre homo. ‘’Droit, liberté’’ ? Mais quel droit et quelle liberté ? Nous devons faire très attention à ces porteurs de fantasmes qui veulent nous les imposer à travers des théories à l’emporte pièce. Si on allait suivre ces hommes qui voudraient se marier entre eux, par exemple, qu’adviendrait-il de notre espèce ? Alors, sommes-nous en face de malthusiens de type nouveau ?

En tout cas, c’est au nom d’une liberté de disposer de l’espace vital qu’un illuminé, en Allemagne, appelé Adolf Hitler, à failli nous mener vers le précipice. Voici un extrait de notre point de vue sur la question délivré, le 21 mai 2009.

(…) Il y a lieu de souligner que le phénomène de l’homosexualité existe depuis plus d’une centaine d’années au Sénégal, sans que cela ne soulève des vagues, comme on le constate en ce moment. Mais souligner cela ne veut pas dire reconnaître à ce groupe de sénégalaises et sénégalais, un quelconque droit à organiser un « Gay Prade » dans les rues de Dakar, à fortiori une liberté de sceller des « mariages » Gay, comme on le voit sous d’autres cieux. Car, « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà». Mais, nous pensons que, plus fondamentalement, et jusquà preuve du contraire (nonobstant cette thèse sur les hormones dominants), comme d’ailleurs l’a dit un jour, l’ancien Premier Ministre français, Lionel Jospin, il y a quelques années sur les antennes de Rfi, l’homosexualité relève « de la perversion ». A notre connaissance, c’est le seul homme politique français qui a eu à prendre position de façon claire et nette, sur la question, dans ce sens. Le problème qu’il y a, c’est le fait que, des individus ou de communautés d’hommes, cherchent à imposer à la majorité d’ d’un autre groupe d’hommes, leurs fantasmes, au nom des libertés et des droits de l’homme inexistants dans ce domaine. Nous croyons qu’il est temps de convoquer la génétique et la biologie dans le débat. Car, le sexe et un organe génital qui a pour fonction première, la procréation. Et une autre sous-jacente, donner l’amour ou le plaisir. La nature qui a réglé le problème (selon notre ami Jo), a doté à l’homme et à d’autres espèces, un sexe féminin et un sexe masculin. Mais pour déféquer, elle a doté à l’homme à l’animal un autre organe commun qu’est l’anus. Donc, au regard de tout ceci, a pourquoi bon sang, on voudrait nous faire croire que l’anus est un sexe ? Ici, nous donnons la parole aux généticiens, biologistes, magistrats, avocats, bref à tous les citoyens, pour répondre à cette question. Nous croyons que l’homosexualité comme l’inceste sont considérées par le droit positif (code pénal notamment), et notre code de conduite sociale, comme une pratique contre nature. Reconnaître à des groupes d’individus le droit de pratiquer l’homosexualité pourrait ouvrir, par voie de conséquence éventuellement, à d’autres groupes, le droit et la liberté de pratiquer l’inceste.

Pour terminer sur ce chapitre, il convient de relever, comme le soulignait notre ami Cheikh, ce curieux comportement de ces fêtards de type particulier, qui, démissionnant de leur « mission » à participer à la survie de l’espèce par la procréation, trouvent à chercher à adopter un enfant » (…)

Dakar le 20 décembre 2012.

Ababacar Fall-Barros

Ancien conseiller Municipal

Commune d’arrondissent Mermoz Sacré-Cœur

Dakar

 

 

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