Comment peut-elle authentifier ces données qui pourront être manipulées, dès lors que les CDR ne sont pas cryptées à la source et donc font l’objet de simples exportations au format csv ou xls et de copier coller ?
Que recherche la machine judiciaire du racisme et du terrorisme anti-nègres de l’Occident après les piles de documents qu’elle dit avoir réunis contre Laurent GBAGBO et mon frère Charles Blé Goudé pour les envoyer en enfer ?
Depuis le Lundi 27 octobre 2014, des sources concordantes à Abidjan nous informent qu’un document appelé « De par la Loi » a été adressé à des Opérateurs de téléphonie mobile de Côte d’Ivoire, notamment à MTN et à Orange, à l’effet de fournir à la CPI alias Cour Pénale Internationale, tous les historiques d’appel allant d’Octobre 2010 à Avril 2011.
Ces données d’appel sont appelées en langage technique CDR (Call Details Records). En règle générale, les Opérateurs font périodiquement des sauvegardes sur supports amovibles et vers des centres de stockage de données de tous les détails des appels qui transitent dans leurs infrastructures.
Chaque Opérateur a ses règles de conservation (type de support et durée de la conservation). Ainsi, les sources nous informent que certaines de ces données peuvent avoir été détruites soit pour mauvaise conservation soit parce que le délai de conservation est passé donc ces données ont été détruites.
Mais à en croire les confidences, la menace qui vise les directeurs techniques qui ne fourniraient pas ces données est sans équivoque : un licenciement pur et simple sans droit. Et avec le directeur technique, tous ses proches collaborateurs concernés par ces dossiers.
Alors, en plus d’endeuiller et de continuer à entretenir la haine dans une Côte d’Ivoire qui va exploser de façon dramatique grâce à la chasse à l’homme organisée par la CPI et le faussaire Dramane Ouattara pour protéger les éventreurs de femmes enceintes et autres buveurs de sang humain qui permettent à la France de piller la Côte d’Ivoire en toute quiétude, c’est maintenant des emplois qui vont être détruits.
Mais cela n’est qu’une petite parenthèse. Quand nous nous interrogeons sur le mobile qui pousse la CPI à exploiter les données de communication d’octobre 2010 à avril 2011, période de l’apogée de l’agression barbare de la Côte d’Ivoire et de son Président démocratiquement élu, tout en sachant que ces données ne contiennent pas les enregistrements des contenus de ces appels, il est évidemment facile de comprendre qu’une énième vaste cabbale est en train d’être orchestrée contre les proches de Laurent GBAGBO.
Et quelle sera cette cabbale ? On peut l’imaginer :
1. établir des liens supposés entre Laurent GBAGBO, Charles Blé Goudé et certaines personnes, notamment les vendus de Philipe Mangou et Consorts pour justifier en fonction du nombre d’appels émis, le niveau d’interaction ;
2. trouver au moins des traces d’appel entre des faux témoins achetés à coup de millions et Charles Blé Goudé ou Laurent GBAGBO afin d’accréditer leurs mensonges dès lors que le menteur peut prouver qu’il a effectivement appelé Charles ou le Président GBAGBO.
Mais sans l’enregistrement des appels, comment cette bandes de fous se disant procureurs à la CPI peut-elle prouver que c’est Charles ou le Président GBAGBO que l’appelant a eu au téléphone ?
En raison des circonstances du moment, ni Charles ni le Président GBAGBO ne prenaient directement des correspondants au téléphone. C’est le plus souvent leurs proches entourages qui se chargeaient de prendre les messages et de donner des nouvelles.
Alors que veut la CPI ?
Comment peut-elle authentifier ces données qui pourront être manipulées, dès lors que les CDR ne sont pas cryptées à la source et donc font l’objet de simples exportations au format csv ou xls et de copier coller ?
Comment compte-t-elle authentifier les témoignages faux et des accusations farfelues avec des données douteuses, manipulées et non pertinentes ?
Comme nous l’avons toujours dit et nous y travaillons, ce Jour viendra et les cris de joie côtoieront les larmes de sang et les grincements de dents de ceux qui rient du malheur des fils de la Côte d’Ivoire aujourd’hui.
Rira bien qui rira le Dernier. Qui vivra verra.
A Très Bientôt.
Hassane Magued
La Révolution Permanente