Le métisse est tout simplement fou à lier !
Le 15 mars de l’an 44 avant Jésus Christ, Marcus Junius BRUTUS, et Caius Cassius LONGINUS, les deux chefs les plus renommés des comploteurs qui se faisaient appeler les LIBERATORES, et leurs 21 autres comploteurs, assassinaient Jules CESAR, dans l’enceinte du SENAT romain, en lui donnant, chacun, à tour de rôle, un coup de poignard !
En reconnaissant BRUTUS, son fils adoptif, Jules CESAR, s’écria, avant de rendre l’âme :
« Toi aussi, mon fils ? »…
Selon l’historien SUETONE, « presque pas un seul de ces 23 meurtriers ne survécut plus de trois ans à César et ne mourut de mort naturelle… » .
En cette année de grâce 2015, nous sommes en train de vivre au Togo, le remake de l’histoire de CESAR, représenté par Gilchrist Olympio, et BRUTUS, par Jean-Pierre Fabre.
Jean-Pierre Fabre, le BRUTUS togolais, fils adoptif de Gilchrist Olympio
Gilchrist Olympio, l’emblématique leader de l’opposition togolaise, et patron de l’UNION des FORCES de CHANGEMENT (UFC), a tout fait à Jean-Pierre Fabre, mais Fabre l’a poignardé et s’est même attaché les services d’un journaliste véreux, Zeus AZIADOUVO, Directeur de publication du journal Liberté, le sodomisé de la presse togolaise, pour essayer de le salir, et de l’avilir ! Celui-ci traite Gilchrit Olympio « d’Opposant préhistorique », et de « podosant », sous prétexte qu’il a conclu un accord de gouvernement avec le Président Faure Gnassingbé!…
A peine trois ans après avoir poignardé Gilchrist Olympio, Jean-Pierre Fabre se meurt, ou plutôt, est politiquement mort ! Il ânonne que celui qui veut le salir n’est pas encore né, mais Jean-Pierre Fabre est sale, très sale même ! Battu à la présidentielle du 25 avril dernier, le chef de file de l’opposition togolaise, patron de l’Alliance pour le Changement (ANC) est politiquement fini, lâché par ses amis de l’opposition qui le trouvent trop orgueilleux, impoli envers eux et incapable de rassembler. Six mois après sa défaite à la présidentielle du 25 avril dernier, il ânonne toujours que c’est lui le gagnant de ce scrutin, et qu’il va traîner en justice les membres de la Cour Constitutionnelle, de la CENI, de la HAAC, des Chefs traditionnels, des préfets etc. !
Le métisse est tout simplement fou à lier !
Comme si cela ne suffisait pas, des voix s’élèvent et saisissent la Cour Constitutionnelle pour demander à son Président, pourquoi les dossiers de candidature du métisse étaient validés à ce scrutin, puisque l’Article 62 de notre Loi Fondamentale stipule clairement que :
« Nul ne peut être candidat aux fonctions de Président de la République, s’il n’est exclusivement de nationalité togolaise de naissance… »
Zeus AZIADOUVO, le Sodomisé de la presse togolaise
Jean-Pierre Fabre est en effet né d’un père français et d’une mère métisse, née Franklin. On sait aussi qu’il n’a obtenu la nationalité togolaise que dans les années 1990, grâce à l’intervention bienveillante du Général Gnassingbé EYADEMA, l’amant attitré de sa mère, Mme Fanklin, épouse Fabre !
Comme on le voit, Jean-Pierre Fabre prend l’eau de partout, et sa mort politique est consommée. Il lui reste à chercher un travail, lui qui n’a jamais vraiment travaillé dans sa vie ! A plus de 62 ans, il vit avec femme et enfants dans la maison de sa mère, maison offerte par Gnassingbé EYADEMA, l’amant providentiel, le père de Faure Gnassingbé, l’actuel Président du Togo.
Nativité Kponsouvi
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