Ambiance ! L’histoire de cette élection togolaise racontée ressemble terriblement à une farce qu’on peut la décrire comme la forme achevée du ridicule.
Cela s’appelle prendre les Togolais pour des bons à rien, des godillots, des cons… Le preux qui veut la pomme et le pommier s’appelle Jean-Pierre Fabre. Sur le site de son parti www.anctogo.com, un vilain communiqué nous annonce pêle-mêle les idées du maitre. Jean-Pierre Fabre porte plainte de la main droite contre la société Zetes « Faurtement » proche de Louis Michel, le belge le plus corrompu des temps modernes et de la main gauche, il veut bien s’asseoir là où, les Gnassingbé se sont assis depuis près de cinquante ans. Si on comprend bien, au soir du 15 avril 2015, Faure Gnassingbé devrait se lever pour que s’asseye Jean-Pierre à sa place. Ambiance ! L’histoire de cette élection togolaise racontée ressemble terriblement à une farce qu’on peut la décrire comme la forme achevée du ridicule.
Le nouveau faussaire Jean-Pierre sait qu’il s’est bien engagé dans une aventure qu’il devra tôt ou tard expliquer aux Togolais la suite de la fin. Et pourtant, moins de cynisme contre un peuple totalement fatigué lui aurait permis d’être plus lucide, plus humble… Que nenni ! Bien plus, Jean-Pierre Fabre ne fait pas la dentelle et cherche à se masquer derrière une ridicule plainte. Pour cela, il fait appelle au service de deux avocats de renoms, donc cher, très cher : Maîtres William BOURDON et Georges Henri BEAUTHIER. Le premier du barreau de Paris et le second du barreau de Bruxelles. Tout un symbole ! Ici, l’homme veut montrer à quel point il prend la triche sinon le faux de la société « Zetes » au sérieux. Et pourtant, Jean-Pierre Fabre qui dit vouloir amener la société qui veut tricher en faveur de Faure Gnassingbé tient cas même à aller aux élections. Quitte à dire après que je savais que je serai volé mais j’y suis allé tout de même : Business quand tu nous tiens ! Qui Jean-Pierre Fabre peut-il convaincre qu’il lutte pour les Togolais ? Qui peut croire encore cet ancien preux de Gilchist Olympio qui a été nourri dans le faux et a grandi dans la malhonnêteté ? Quand on sait que pour le même faux fichier électoral, Alberto Olympio un nouveau venu sur la scène politique avertissait : « Sans l’audit du fichier électoral, aller à cette élection c’est accompagner Faure Gnassingbé simplement ». Jean-Pierre Fabre a lui, choisi d’accompagner l’enfant dont sa maman était l’amante du père. Bienvenue dans la politique faisandée à la togolaise !
Camus Ali Lynx.info