Tous les jours que DIEU fait, des individus de la corporation qui se disent journaliste ne font que des « bitoss ». Comment comprendre que des gens qui ne vendent même pas 100 journaux de leur parution par semaine voie par mois mènent un train de vie plus que les ministres de la République et des officiers supérieurs de l’armée Togolaise.
Ces soit disants journalistes se pressent pour acheter des voitures, des terrains et pour construire des maisons à coût de millions. Certains parmi eux on des salaires de 1 million par mois garanti par le régime. D’autres c’est 100.000 à 300.000 f CFA selon la façon dont ils défendent avec tripe et panse le régime aux abois sur les médias juste pour intoxiquer la population.
Quelle honte et quelle malédiction pour ces voyous, bitosards de la corporation des journalistes. Tous ceux qui profitent des malheurs et de souffrances de ce peuple finiront mal et très mal un beau jour. Dans ce pays on se connaît et une chose est sûre, le peuple connaîtra ces ennemis au moment venu.
Dans la corporation, il y a des voleurs que vous ne pourrez pas imaginer. Un individu voyou qui se permet de dire qu’il est journaliste caméraman, n’est qu’un voleur, un brigand et un bandit de grand chemin. Cet homme a eu le culot et l’audace d’aller voler le mois de décembre 2012 et de janvier 2013, 2 IPAD de couleurs noire et ivoire, et 1 caméra numérique haute définition dans le bureau de Monsieur Agbéyomé Kodjo chez lui à la maison. Bien avant ça, ce même type a volé une vidéo caméra chez un membre d’Obuts dans son bureau. Ce qui est vraiment étonnant ce voleur est parti vendre ces butins à des officiers de l’armée togolais. Voila ce que regorge la corporation des journalistes au Togo.
Au temps du Premier ministre Gilbert Fossou Houngbo, les bitosards de la corporation, avaient une caisse noire à la primature avec la complicité d’un employé pour se servir à dessein. Cette caisse noire est alimentée par une société de l’Etat. Depuis l’arrivé du nouveau maître des lieux, cette caisse noire aurait été supprimée.
Au lieu de prendre les fonds pour le développement du pays, de créer des emplois, doter les hôpitaux d’appareils et des médicaments, améliorer les conditions des étudiants sur les campus, celles des fonctionnaires et des forces de l’ordre et de sécurités (armée, police, gendarme), et équiper les sapeurs pompiers, les dirigeants et les gouverneurs préfèrent donner des sous à des voyous, des cancres, des bandits, des traites, des judas, des tonneaux vides pour des futilités juste pour soigner leur image auprès du peuple et sur le plan international.
Les temps ont changé et le monde évolue. Il faut que les gouvernants se rendent compte de la réalité au Togo, que de se cacher derrière les moutons pour tromper le peuple et vouloir les faits avaler du n’importe quoi maintenant.
Ce machin moribond de M150, regroupe en son sein des fainéants, des inconscients, des moins l’infini qui ne cherchent pas à travailler honnêtement pour gagner leur pain quotidien à la sueur de leur front. Ces voyous ne pensent qu’à se réunir pour défendre l’indéfendable, tromper Monsieur Faure Gnassingbé avec la complicité de son entourage pour avoir de l’argent du contribuable détourné par ces donateurs véreux.
Il faut que ces « bitosards », paresseux et fainéants de la République sachent bien qu’ils sont aussi coupables et rendront compte au peuple au même titre que les détourneurs du denier public.
Nous avons leurs noms et nous connaissons très bien ce qu’on leur donne à chaque fois. Qu’ils ne se trompent pas, car le moment viendra nous allons publier leurs noms et les montants qu’ils ont perçu pour faire du mal à ce peuple.
Le journalisme qui est le quatrième pouvoir et surtout un métier noble est devenu au Togo pour des parvenus, un moyen de s’enrichir sur le dos du peuple.
Blanche PENOUKOU
(Journal La Nouvelle N°0005 du 15 mars au 15 avril 2013)