Géopolitique: Construction des Etats-Unis d’Afrique et alternance politique vont-elles de pairs ?

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Les dirigeants africains au pouvoir sur plusieurs décennies sont-ils présentés à leur peuple dans l’image de dirigeant fainéant ou incompétent à quelle fin si ce n’est la course à l’alternance politique dans les pays du viseur de la mafia des multinationales occidentales qui parrainent leurs suppôts haut placé dans l’administration centrale et politique ? Ceux-là même qui s’arroge le titre d’excellence, une vraie nébuleuse politico-affairiste où commis de l’État, cadres des partis gouvernants et hommes d’affaires véreux ? Comprendre : Pour réussir à déstabiliser un pays au dirigeant « récalcitrant  » à la mafia prédatrice des multinationales, les prédateurs passent par l’étude des maux sociaux y afférents dans chaque pays bien étudier dans les laboratoires et faire exploser les crises à travers les agents doubles en leur faveur à travers les grèves dans tous les corps sociaux sensibles.

De mon petit regard de citoyen éclaireur, je continue de soutenir que tout ce que nous observeront ou observons en Afrique hier, aujourd’hui et demain comme printemps de déflagration sociale ou de contestations de l’ordre établi des gouvernants dans la plupart des pays dit stratégiques ou à scandales minières et ressources naturelles, participerait de la stratégie prédatrice à travers leurs services d’intelligences de mettre à mal la construction des États-Unis d’Afrique qui est salutaire pour le continent en parrainant toujours la venue au pouvoir d’un suppôt acquis à la mafia du pillage des richesses nationales en échange du maintient au poste du dirigeant.

Mais cette union n’est par pour plaire à toutes les puissances car, elle aurait une conséquence fâcheuse envers les puissances prédatrices occidentales qui n’arrivent plus à faire face aux puissances émergentes détentrices des grandes quantités de devises pour la conquête du marché africain des ressources naturelles et matières premières.

La Chine en tête comme première puissance économique mondiale. Cet empire du milieu entend se délocaliser et s’installer sur le continent pour transformer les produits bruts jusqu’au stade fini avec incidence technologique. Et ceci sur la protection des bases militaires en prospection sur le continent africain dont Djibouti est déjà sa première base.

Ce qui est une gifle de la Chine aux occupants d’hier en Afrique et qui n’ont aujourd’hui que les yeux pour pleurer de la conduite défensive et offensive des puissances émergentes conduite par la Chine et ses alliés tels : l’Inde, le Brésil,… la Russie qui primera demain dans le gisement du gaz algérien et camerounais pour tenir l’Europe dans le chauffage contre la monstruosité du froid glacial. Ça vous saute aux yeux ça jeunesse africaine ? Jeunesse du pain bénie des manipulateurs de l’ombre à la course de l’alternance au pouvoir ici et là partout en Afrique ?Les pays porteurs des germes panafricains des États-Unis d’Afrique seraient le marqueur de déstabilisation des puissances prédatrices. Ces pays Africains connaissent ou connaîtront à répétition des mouvements sociaux réguliers pour affaiblir le dirigeant soit dans l’éviction du pouvoir ou soit dans le maintien sous condition.

En Afrique noire, les dirigeants « récalcitrants » tels les Robert Mugabe, Theodoros Obiang Nguema, Idris Debby, Paul Biya,… au nom des intérêts supérieurs de leurs peuples contre le système maffieux dont-ils connaissent le fonctionnement pour l’avoir vécu de près sur plusieurs décennies de pouvoir ne devront-ils pas être soutenus par leur peuple respectif pour arracher l’indépendance économique des mains des occupants d’hier et passer le témoin aux hommes et femmes patriotiques d’une autre République pour tenir ferme les espaces de souveraineté conquis ?

La déstabilisation prédatrice des challenges de la manifestation des différents pouls de la construction des États-Unis d’Afrique qui ont démarrées sous Mouammar Kadhafi à Syrte en Libye, siège de la banque africaine d’investissement (BAI), se poursuivra à répétition au Kenya, siège de l’Union Africaine construite sur plusieurs niveaux et offerte gracieusement par la Chine dans sa coopération de diplomatie gagnante/gagnante avec l’Afrique ; au Zimbabwe pour la solidité de son dirigeant Robert Mugabe qui tient la tête de l’Union Africaine ; au Nigeria le siège de la Banque centrale africaine (BCA) logé à Abuja ; de l’Algérie jusqu’au Cameroun, siège africain de l’Université mathématiques des sciences de la conquête spatiale logé à Limbé, le Fond Monétaire Africain (FMA) logé à Yaoundé, la base des Forces fédérales de l’Armée africaine et enfin le Réseaux africain satellitaire de communication (RASCOM) logé à Intelcam Douala.

Voilà la diplomatie de ruse des dirigeants africains qui fâche une certaine puissance prédatrice de perdre le Cameroun pilier de l’Afrique Centrale ? Et plus tard la mort au Cameroun du franc des colonies d’Afrique (F.CFA) le jour où la Banque centrale africaine émettra la première monnaie unique liée aux États-Unis d’Afrique.

Voilà la diplomatie africaine géopolitique de ruse de nos dirigeants éclairés taxés de  » dictateurs « . En vent contraire, une certaine diaspora, certains acteurs politiques et leaders de la société civile et patrons d’ONGs établis dans des pays africains parcourent les chancelleries occidentales dans l’invite des prédateurs à intervenir dans leur pays pour quelque motif que ce soit. Moi j’appelle cela de la haute trahison à l’endroit des patriotes panafricanistes morts pour le rêve des États-Unis d’Afrique. Oui certains des nôtres de la race noire sont des agents doubles au service de l’intelligence des intérêts des puissances prédatrices en Afrique.

La stratégie usuelle de forte amplitude dans la manipulation de l’opinion publique nationale et internationale mise à contribution par les services d’intelligences des puissances occidentales prédatrices, est pilotée en interne sur le continent par les suppôts africains, répondant au portrait robot d’acteur politique véreux,  » naïf » doublé de la  » myopie politique » c’est-à-dire des gens haut placés par l’instruction et la position sociale, ceux-là même qui s’arrogent le titre de leaders d’opinion. Cela confirmé par LES TRAITRES de Marcus Garvey et je cite un extrait : « Dans la lutte pour s’élever, les opprimés sont toujours handicapés par ceux d’entre eux qui trahissent leur propre race, c’est-à-dire par les hommes de peu de foi, et tous ceux qui se laissent corrompre et acceptent de vendre les droits de leurs propres frères.

Nous non plus, membres de la race noire, ne sommes pas totalement à l’abri de ce genre de fléau. Si j’exprime le fond de ma pensée, je dirai même que nous en sommes affligés plus que toute autre race, parce que nous n’avons pas la formation et la préparation nécessaires pour occuper la place qui nous revient parmi les peuples et les nations du monde. Chez les autres races, le rôle du traitre se limite en général à l’individu médiocre et irresponsable.

Les traîtres de la race noire, malheureusement, sont la plupart du temps, des gens haut placés par l’instruction et la position sociale, ceux-là même qui s’arrogent le titre de leaders. De nos jours, en effet, tout individu, ou presque, qui tente sa chance comme leader de la race, commence par s’établir, tel un animal domestique, dans les faveurs d’un philanthrope d’une autre race : il va la voir, dénigre sa race dans les termes les plus vils, humilie sa fierté d’homme, et gagne ainsi la sympathie du «grand bienfaiteur», qui lui dicte ce qu’il doit faire dans son rôle de leader de la race noire.

En général, c’est : «Va dire à tes gens d’être humbles et soumis ; dis leur d’être de bons serviteurs, obéissants et loyaux envers leur maître. Si tu leur enseignes ce genre de doctrine, tu peux toujours compter sur moi pour te donner 1000 dollars, ou 5000 dollars par an de revenus, pour ton journal et l’institution que tu représentes. Je te recommanderai à mes amis comme un brave homme sans problèmes». Fin de citation.

Et si l’accusation de Garvey interpellait en exemple certains acteurs politiques véreux trafiquant de toutes sortes se recrutant aussi bien en diaspora qu’à l’intérieur du continent, des grands « universitaires » des leaders d’opinion, des journalistes, des responsables d’ONGs et des hommes d’Églises acquise en Afrique à l’alternance au pouvoir à tous les prix sous le joug des donneurs de leçon occidentaux? Des traitres soutenus par la mafia dans la conquête du pouvoir avec des complicités dans l’appareil étatique de porter l’estocade dans le camp du pouvoir avec la complicité des politiques et des hauts fonctionnaires hors de tout soupçons qui jouent à être royaliste plus que le roi afin de brouiller toutes les pistes et ternir l’image du régime par des actes antisociaux barbares tels les déguerpissements au Cameroun à-tout-vent sous le couvert d’utilité publique ou de l’ordre public qui se déteindra automatiquement sur le dirigeant Paul Biya traité par certains concitoyens et concitoyennes de la diaspora de roi fainéant à faire tomber ?

De tels actes barbares de déguerpissement des quartiers entiers conduiront forcement tôt ou tard à une forte contestation par des manifestations de colère de la population qui affronteront en face-à-face les forces de l’ordre et l’armée qui chargeront sur les manifestants.

Motif valable de crime contre l’humanité pour atteinte des droits humains qui entrainera le dirigeant Biya répondre de ses actes devant la Cours Pénale Internationale ? Est-ce la stratégie en marche au Cameroun exactement comme ailleurs ? Ce sont des techniques de stratégies savamment étudiées dans les laboratoires d’intelligences pour faire tombe tout dirigeant qu’on tient. Tous les milieux et organisations de la société civile, religieuses, syndicales, partis politiques, médiatiques, universitaires, sont infiltrés par des agents doubles pour faire l’affaire.

A travers cet article, ma lecture d’africain du visage caché des véritables enjeux des bagarres sur notre sol entre les puissances prédatrices ne seront-elles pas la cause des incendies sociaux allumés par les puissances pyromanes dans nos pays aux fins du retardement de la réalisation des États-Unis d’ Afrique ? Et par comment ? À chaque fois réssurgir des rebellions entretenues qui justifierait sa naissance dans la recette de la mafia des multinationales, à savoir : mauvaise répartition du  » gâteau  » national, le bâillonnement des médias récalcitrants de tout ordre, des atteintes aux libertés individuelles des citoyens et citoyennes activistes, bref de tous les maux sociaux tels que le manque d’eau potable, les coupures électriques exagérées de longue durée dans les ménages et structures économiques, la mauvais qualité des prestations de services de communication sont caractéristiques du mal vivre des populations de chaque pays africain qui puiserait sa source dans la mal gouvernance piloté à dessein par une nébuleuse politico-affairiste.

Politique voulue, entretenue et soutenue par les puissances occidentales prédatrices pour tenir à la culotte les dirigeants des pays riches en ressources naturelles et matières premières. La politique du  » bâton et la carotte « . La Cour Pénale Internationale est l’épée de Damoclès suspendu au-dessus de la tête des dirigeants récalcitrants à la mafia et aux rebelles qui faussent les calculs du pillage des richesses par la mafia.

Pour ce qui est toujours du Cameroun, si on n’est pas « naïf  » ou atteint de la  » myopie  » politique, qui peut nier au vue du décryptage que le dirigeant a su se servir de l’antidote à la table de recette des puissances prédatrices en ouvrant au coup par coup le robinet de la liberté d’expression et de la presse privée au Cameroun ou personne ne doit prendre le maquis pour exprimer ses opinions dixit Paul Biya ? Et si le Conseil National de la Communication (CNC) a trahi la pensée du Prince en soufflant naïvement en vent contraire pour les intérêts de la mafia dans l’enterrement de la parole au Cameroun qui libère les esprits patriotiques ? Oui Afrique Média a construit l’esprit patriotique populaire d’affrontement de la mafia afin que les gouvernants africains aient des coudés franches dans la signature des contrats licites et non plus mafieux de spoliation des richesses.

Oui Afrique Média a conquit l’opinion publique africaine en générale et camerounaise en particulier par son ton patriotique libre et panafricaniste. Jamais un média africain n’avait osé le ton patriotique panafricaniste de porter la voix des peuples. La France politique et non des peuples n’a-t-elle pas revue ses positions et méthodes de banditisme suite à la dénonciation du dol des contrats illicites avec certains pays africains ? Je soutiens la ligne éditoriale de cet organe privé de communication africaine.

Mais seulement, en prélude des attaques de toute part, la personne rusé de Paul Biya, le Chef des armées, en visionnaire, s’est lancée dans l’équipement du matériel militaire de dernière génération et la formation d’un corps d’élite dans tous les corps d’armée pour protéger la nation camerounaise contre toute agression extérieure et intérieure. Formation faite au Cameroun à l’école militaire internationale de guerre de Yaoundé et dans les 4 coins du monde dans les pays historique de tradition guerrière et de lutte anti-terroriste. Notamment en Israël, en Grèce, en Turquie, en France, en Allemagne, en Angleterre et aux USA pour comprendre les techniques de guerre occidentale et puis en Russie et en Chine.

Ces corps d’élites des forces spéciales issu de tous les corps d’armée sont des jeunes au mental d’acier et qui ont le soutien inconditionnelle du peuple entier dans la défense de la patrie. Le peuple est fier de son armée. Les hommes d’armes sont loyaux envers les institutions de la République, d’où la difficulté prédatrice de réussir au Cameroun ce qui est facilement acquis ailleurs. Les camerounais dans leur grande majorité sont des nationalistes. Que c’est dur pour les traitres au Cameroun.

Je fais noter que, la force politique du règne trentenaire de Paul Biya le Chef des armées et de la Magistrature, réside dans sa stratégie permanente de pédagogue politique de moralisation des comportements publics licites envers le pays par son laisser aller et du laisser faire de chacun au service du pays dont les écarts de gestion ou de brigandage de la fortune publique en fonction connaissent des sanctions impitoyables aujourd’hui contre des compatriotes directs et assimilés partant de la justice, de l’armée, de la gendarmerie, la police et des hauts fonctionnaires dont-ils rendent gorge actuellement. Moralité : le silence et la ruse de pouvoir ne sont-il pas pour le Prince son levier de fermeté et de l’entourloupe à la mafia régnante ?

Dans le champ politique des adversaires déclarés et non déclarés à la course à l’alternance au pouvoir dans les pays africains, les USA, le Royaume-Uni, et la France préparent chacun le candidat issu de leur moule de formatage et qui accepterait de livrer les richesses du pays. Les privatisations dans les pays africains sont des bons tests de parrainage desdits suppôts véreux ayant la capacité de livrer leur pays. Comme ça le moment électoral venu, une batterie de communication pour vendre à l’opinion publique nationale et internationale l’image de l’illustre sera sans pareil. Heureusement qu’au le Cameroun, contrairement aux autres pays africains, les citoyens et citoyennes de ce territoire sortent la tête de l’eau car dans leur immense majorité, ils sont très allergique aux acteurs politiques soutenu par des puissances étrangères. Et même, au plan intérieur, bon nombre de prétendus suppôts des puissances prédatrices sont coincés dans les serres de  » l’opération épervier  » pour avoir pris des libertés avec l’argent du peuple camerounais.

Parlant de la déflagration social interne qui guète certains pays africains, en voici un exemple parmi tant d’autres pour ce qui est du Cameroun : le journaliste Jean Baptise Sipa, ex-Directeur de Publication du journal le quotidien  » Le Messager  » n’avait-il pas vu juste en 2011 quand il disait dans un article et je cite : (…) certaines situations cruelles ou inhumaines que subissent aujourd’hui de trop nombreux citoyens camerounais, suggèrent que le pays est paradoxalement tyrannisé par une sorte de joyeuse anarchie qui, dans son déploiement, ressemble à un coup d’État permanent, organisé par une nébuleuse politico-affairiste où commis de l’État, cadres du parti gouvernant et hommes d’affaires véreux s’entendraient pour faire échec aux discours et instructions de Paul BIYA.

Un peu comme si leur objectif était, depuis 1985, de lui donner à la fois une image de chef incompétent, et un rôle d’otage-bouclier aux pouvoirs institutionnels domestiqués par des intérêts privés et mafieux. » et dans un autre un article du titre  » LA GUERRE VIENDRA DE LA TERRE  » (…) « Monsieur le président, vous pouvez briguer un énième mandat avec la certitude d’être réélu, si vous trouvez le courage de régler tous les litiges fonciers qui sont en train de générer dans toutes les régions du pays, des bombes sociales à retardement ; de créer de plus graves risques de guerre civile que toutes ces formes de libertés d’expression dont la répression devient l’occupation obsessionnelle de vos gouverneurs et préfets » Fin de citation.

En signe de preuve de fidélité des suppôts à leurs parrains, au-delà des déguerpissements barbares pour cause d’utilité publique sans indemnisation préalable d’éviction tel qu’exige la loi et dont la seule ville de Douala compterait aujourd’hui plus de 150.000 victimes prêtes à rejoindre toute fronde sociale réclamant la justice sociale et le bien-être quotidien appelle urgemment son dirigeant Paul Biya à s’y pencher pour solution.

Car c’est a lui que le peuple souverain a donné mandat de son destin. La privatisation des entreprises de souverainetés nationales sont la preuve de coup d’état invisible de renversement de tout pouvoir : eau, électricité, communication, rail, port…pour ne citer que celles-ci dont le manque de fourniture permanente des prestations pourront être la source pressante d’une déflagration sociale qui ne dit pas son nom au Cameroun. Vue sous cet angle, la stratégie de déstabilisation du régime de Yaoundé prendra-t-elle la mayonnaise comme disent les spécialistes ? 

Cette technique des puissances de tenir l’économie des entreprises de souverainetés nationales des pays africains est susceptible de fragiliser le pouvoir en place et connue des experts avérés en stratégie du terrain. Le problème majeur qui mine le Cameroun aujourd’hui, réside dans la qualité des ressources humaines frileuses mercantiles en déphasage par le fait de son cheminement vers son indépendance économique dont le dirigeant mise de moins en moins sur la puissance tutélaire pour regarder maintenant ailleurs au gré des intérêts de son peuple car, en diplomatie géostratégique et géopolitique, les États n’ont pas d’amis, mais que des intérêts.

Comme quoi, Paul Biya au pouvoir trentenaire, l’histoire de son pays revendiquera au même titre que ses compatriotes qui ont donné leur vie pour l’indépendance politique et territoriale du Cameroun, son nationalisme et patriotisme, car c’est par les actes politiques et non autre chose qu’on juge tout dirigeant.

J’indique quand un pays susceptible d’être déstabilisé est dans le viseur de la mafia des multinationales demandeuses des matières premières et ressources naturelles et que le dirigeant docile du pays à déstabilisé joue le jeu de la mafia, alors la casquette de grand démocrate lui est concédé en guide éclairé, enjolivé dans tous les supports médiatiques sous le financement desdites multinationales bénéficiaires qui finance l’économie occidentale et la venue au pouvoir des dirigeants politique en occident.

A l’inverse, par expérience du pouvoir du fait de la longévité de certains dirigeants africains  » récalcitrants  » qui refusent de continuer à jouer le jeu de spoliation des richesses de leur peuple bien que tenu à la culotte par la mafia, sont affublés de tous les qualificatifs et lynchage médiatique dont la meilleure casquette est celle de pire  » dictateur « , ceci sur financement obscur de la mafia.

Oui tous ces patriarches au pouvoir actuellement en Afrique seront redevable aux jeunes générations pour l’histoire de la construction des États-Unis d’Afrique profitable à leur peuple dans l’affaiblissement de la mafia prédatrice dont-ils ont été complice passif ou intellectuel. Mais seulement, le courage de renoncer à cette mafia au nom des intérêts supérieur de leur pays par ces dirigeants africains dans le viseur de la mafia sans être broyé est dû au fait que le peuple éclairé des enjeux par les éclaireurs concierge de la République forme un bloc soudé derrière le dirigeant : le Cameroun parle-t-il à l’Afrique ?

Je décortique le procès pour éclairer l’opinion publique africaine en générale et le peuple camerounais en particulier de garder en permanence en tête à se préparer de faire face à tout complot de déstabilisation de leur pays afin que chaque électeur et électrice décèle qui manipule qui et sanctionne pour ce qui est du Cameroun en 2018 ou en anticipé de 2017 dans les urnes le/les candidat(s) à la présidentielle n’ayant pas le souci de la paix sociale en utilisant tous les moyens et subterfuge pour parvenir au pouvoir avec demain le soutient politique de Nicolas Sarkozy en route par tous les moyens à l’Élisée pour sauver la France en perte de vitesse avec François Hollande.

La paix a un prix dans un pays : La justice sociale et la bonne gouvernance dans la gestion de la redistribution des richesses nationales au peuple souverain qui se doit de résister à toute déstabilisation du pays. Le schéma de fin de trois décennies au pouvoir du Prince au Cameroun fait souffrir un peuple désabusé par ses « créatures  » occupés plus à l’alternance qu’à travailler pour le pays. Planquer l’argent à des fins obscures. Moralité : ressources humaines mercantiles et égoïstes.

Mon dirigeant n’a jamais été un agent de la mafia, mon dirigeant n’est pas un roi fainéant, mon dirigeant n’est pas un leader traitre mais plutôt un Bantou rusé qui trace le chemin de l’indépendance économique de son pays pour la troisième République après l’indépendance politique de la première République. Les puissances occupantes d’hier du Cameroun que sont l’Allemagne, l’Angleterre et la France tutélaire sont bien en compétition féroce au Cameroun sous Paul Biya avec la Chine, la Russie, l’Inde, le Brésil, la Turquie, les USA,… Voilà les faits.

Jeunesse africaine en générale, Peuple camerounais en particulier, vigilance donc !

A bon entendeur……salut !!!

Douala, le 08 juin 2015

Youssouf Bamen Calixte,

Consultant politique de terrain/stratège

Directeur du Cabinet Bit & Co 

 

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