Tout en condamnant l’utilisation de civils, comme boucliers, le président a dénoncé toute opération, qui cause la mort de civils, peut-on lire dans un communiqué de la présidence afghane, ajoutant qu’une délégation se rendrait sur les lieux pour enquêter.
L’ISAF, la force de l’OTAN en Afghanistan, qui indiquait jusqu’alors que, jusqu’à dix femmes et enfants, avaient été blessés, mais non pas tués, selon l’un de ses porte-parole.
« Nous rassemblons les faits, pour comprendre ce qui s’est produit. Nous prenons chaque perte civile très au sérieux », a poursuivi ce porte-parole.
Un premier bilan, confirmé par trois responsables de la province du Konar, l’un des bastions talibans de l’Est du pays où l’incident s’est produit, faisait état de 10 enfants morts, auxquels s’ajoutait la mort d’une femme, selon d’une de ces sources.
Irib