Il en a marre de vivre sans première dame, mais n’aurait pas la force nécessaire. Célibataire endurci, toutes les grossesses des « chevrettes » du côté de Lomé et dans d’autres villes donnent l’idée que le « bouc de la nation » en serait le responsable, le vrai. La famille s’est agrandi avec 11 enfants Gnassingbé et chacun, avec sa maman. Faure n’en a cure. Le père défunt avait des bataillons d’enfants mais n’avait pas sevré les Togolais d’une première dame tout de même ! Dans une république responsable, le premier responsable pose des actes responsables. Faure n’a pas eu cette éducation. Autant les Togolais sont des animaux qu’il peut égorger quand son pouvoir vacille, autant les femmes sont utilisées pour ses pulsions sexuelles et ses orgies nuptiales. Pour l’ex premier ministre Agbeyomé Kodjo : « Il a plus érigé des villas dans les fesses de petites filles qu’il n’en a construit de routes ». Son premier quinquennat à un bilan qui froisse les esprits ! Pour le patron de Sursaut -Togo, Kofi Yamgnane : « On ne peut demander à quelqu’un qui a divisé sa famille, divisé l’armée et divisé les Togolais de faire une prouesse. Il n’en a pas les capacités ». Alors que quelques chaînes lui collent encore aux talonnettes, il pense aussi se débarrasser du legs volumineux du RPT qui serait devenu le clou qui lui perce l’anus jusqu’aux tympans. Et enfin il voudrait aussi régner pour des siècles et des siècles sur la maison Togo. Pour cela, il lui faut des dialogues et autant de fois que la broutille d’opposants d’opérette, de pépés devenus sur le tas de véritables braqueurs de la république et des opportunistes de tout acabit lui prêteront le flanc. Avec les Gnassingbé le pouvoir s’apparente à un lopin de terre. On écrit son nom, on passe voir un géomètre, on construit et on fait gicler le sang du premier contestataire qui voudra savoir ce qui se passe entre les quatre murs.
Faure : Une femme, Quoi en faire ?
Quand les femmes de ses prisonniers politiques dont Mimi Gnassingbé ont pris la route vers l’ANR du tout puissant Yetroféi Massina pour la libération de leurs maris, elles ont été accueillies par des armes lourdes. Faure les aurait traité hors micro de « prostituées ». Et il n’a pas tort notre « Faure nationale ». La vie de famille lui donne l’impression qu’il vendrait sa liberté de président volage, de président qui manquerait de cette « bonne chair » les nuits. Quand il envoie le commandant Félix Kadhanga tuer son frère cadet, ce dernier était en famille avec femme et enfants. Lui Faure était encore sous les petites jupes d’Ingrid Awadé. Quand Abass Kaboua est allé lui compter le nombre d’amants de la patronne togolaise du fisc, notre national s’est empressé de trahir. La suite on la connait. C’est une Ingrid, groggy, révoltée et surexcitée qui arrive dans la cour du politique. Une pluie d’injures dans des allures d’une vraie croqueuse d’hommes , histoire de montrer qu’on ne lui marche pas sur les orteilles impunément quand elle est à un centimètre de devenir première dame du Togo. Seule bonne note, le papa de son gros bras Pascal Bodjona soutien dans une interview au Lynx qu’on peut diriger un peuple sans donner l’exemple sur les valeurs cardinales pour tout dirigeant qui se veut responsable : « …Le comble c’est qu’elle se permet [ Ndlr, la presse] des incursions dans leur domaine privé oubliant royalement que la liberté de chacun s’arrête là où commence celle de l’autre… Que Faure mène une vie de célibat ou que Pascal soit trop gros ou qu’il porte un prénom Cotokoli ou musulman (Sany) quelle incidence cela peut avoir sur leur compétence ou le rendement qu’on attend d’eux ? »
Faure : Il faut endormir le peuple par une histoire de parti politique
Il suffit de regarder le parcours de Faure, et bien le regarder par la démarche comme par le sourire, et on peut facilement tirer les conclusions nécessaires et s’en rendre compte que ce garçon n’a rien dans le « Congolo » à part trouver des moyens obscurs pour évincer ses adversaires. Avec autant de milliards et un carnet d’adresses épais, si on a pas la capacité de laisser une ligne politique où bien mieux une idéologie pour des générations futures, il est bien clair qu’on a un autre agenda qui ne rime pas avec de celui qui dit qu’il faut servir les Togolais. Alors le fils a trouvé le moyen de détourner les regards vers une histoire de création de parti politique. Un conglomérat de journalistes en mal du sensationnel et de billets de banque a été aussi piégé comme le peuple d’ailleurs. Dans la « république du Gondwana », les vérités et les mensonges cohabitent comme le pillage et le blanchissement d’argent. L’état togolais n’a jamais aussi été déliquescent !
Faure : Il faut « dialoguer » pour renforcer mon pouvoir
Malédiction à tout parti politique qui irait encore parler au nom du peuple togolais ! Jusqu’à nos jours, le RPT, les Gnassingbé contre les Togolais ont eu à faire 13 dialogues qui ont été signés et tout de suite jetés dans les poubelles après signature. Le Pr Apedoh Amah Tagoata est plus clair : « Le Togo n’a plus besoin de dialogue, moins d’alternance mais d’une révolution ». Mais la mauvaise note reste toujours la finalité de ce dialogue qui ne fera que renforcer le monstre au pouvoir et sonner du coup le début de la fin de l’opposition togolaise . D’ailleurs, l’ANC de Jean-Pierre Fabre voudrait de ce « dialogue » à condition qu’on mette un peu d’argent dans les poches de ses députés injustement chassés. Le CAR, OBUTS, le PRR, voudraient aussi faire une 14ième expérience. On a vu la CPP du plus malhonnête des Togolais, Edem Kodjo renaître de ses cendres comme Orphée revenant d’entre les morts, avec pour but de se faire entendre. Il ne faut plus se leurrer au Togo. Il y a une partie, sinon un petit groupe de Togolais qui tire toute la République vers le bas. Il faut les démasquer et les pourchasser comme des malpropres. C’est à ce prix que nous pourrions dépoussiérer et décontaminer la maison Togo de tout ce venin qui dégouline sur son toît depuis 45 ans, depuis Gnassingbé père au fils….
Anicet Gomaro Lynx.info