Le candidat Républicain Donald Trump à la Maison Blanche est un spécimen bien rare en politique. Le langage politiquement correct, il ne connaît pas. Le discours de polissage non plus. Il est Trump. Ses mots sonnent comme une trompette. Sans citer les Africains, le multimilliardaire Américain les interpelle. Il les incite au combat.
A l’Administration Bongo et son peuple, il indique le chemin du radicalisme politique positif contre la coalition des opposants et fronts-occidentaux, menteurs-guerriers-déstabilisateurs.
Trump Révèle les Ennemis du Gabon
Pendant les primaires, Trump a pointé du doigt un des ennemis des Africains. Le dictateur-ex-président Français Nicolas Sarkozy, empêtré dans un insondable et insoupçonnable cas des délits. Chapelet: Abus de confiance. Trafic d’influence actif. Corruption active. Faux et usage de faux. Tentative d’escroquerie. Complicité. Recel de violation de secret professionnel. Recel de ces délits.
Des délits qui ont fait dire au candidat-multimilliardaire Trump qu’“il faut lier et jeter en prison” cet infâme éthiquement et moralement pourri. Mais cet indélicat avec l’argent, les vieilles personnes, et la loi, encore libre, a “reçu Jean Ping il y a quelques mois.” Puis, s’est dit “préoccupé par l’évolution Gabonaise.” Une “évolution” peut-être de la mentalité politique des Gabonais qui ont empêché Ping de prendre le pouvoir pour le compte des multinationales occidentales.
Puisque Jean Ping, ami de Ouattara, tous deux amis de Sarkozy, ont tous, un point commun qui se résume au lien: Déstabilisation-crimes-pillages. En effet, Ping est celui par qui le Gabon a été ensanglanté. Ouattara, celui qui a marché sur des milliers de corps pour un pouvoir mis au service du Capital international. Sarkozy le Satan qui sur des centaines de milliers de morts, a fait de la Libye un non-Etat. Le régime Bongo reste donc sous menaces de ces trois délinquants politiques, qu’il faudrait “lier et jeter en prison.”
Solution Trump à Bongo
Lors du deuxième débat de la présidentielle Américaine le 9 Octobre 2016 Trump a menacé Hillary Clinton. “Si j’étais en charge de la justice, vous seriez en prison.” Puis, a précisé à l’endroit cette femme de sang qui était dans le conclave destiné à démettre le président Gbagbo du pouvoir en Côte d’Ivoire, et qui a jubilé tout crocs dehors après l’assassinat le Colonel Kadhafi par les forces Françaises, alors qu’elle était chef de la diplomatie Américaine, ce qui suit. “Si je gagne, je vais donner l’ordre à mon ministre de la Justice de nommer un procureur spécial pour faire la lumière sur votre situation, parce qu’il n’y a jamais eu autant de mensonges, autant de choses cachées.”
Cette sentence de Donald Trump pourrait s’appliquer mot pour mot à Jean Ping. En plus de tout cela, son appel au non-respect des institutions de la République, le condamne. A Bongo de jouer.
Dr Feumba Samen
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