Côte d’Ivoire, Ouattara est là, le malheur aussi

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Du l’angoisse et même du dégoût. Ce sont des sentiments que l’on ne peut s’empêcher de d’éprouver face à cette vagues de malédictions, que dis-je, de malheurs qui s’abattent sur la Côte d’Ivoire, depuis qu’un certain Alassane Ouattara est au pouvoir.

Du « plongeon » d’un bus de la Sotra dans la lagune Ebrié, en passant par les innombrables incendies, pour enfin en arriver à « la bousculade de la Saint-Sylvestre » (pour ne citer que ces catastrophes-là)…, disons-le tout net, la « bousculade des feux d’artifices » est un acte terroriste et un crime odieux perpétré par l’irresponsabilité de ceux qui ont pataugé dans le sang des ivoiriens pour se hisser aujourd’hui au pouvoir.

Ici, comme toujours, le crime porte un nom et une marque déposée: Alassane Ouattara. Les exécutants sont connus : les extrémistes pro-Ouattara, qui ignorent tout du concept de « l’ordre et de la discipline ». Des milliers de voyous surchauffés à blanc, certainement sous l’effet de substances hallucinogènes, venus des sombres quartiers de la capitale, ont – certainement – voulut se faire remarquer. Et de quelles manières ? Résultat : plus d’une soixantaine de personnes « massacrées », femmes et enfants compris.

Du temps où « le général » Blé Goudé organisait ses rassemblements, jamais l’on a assisté à pareil drame !

Mais voilà nos amis au pouvoir rattrapé par leur propre incompétence. En lieu et place de la sensibilisation, l’éducation et la formation de leurs militants, ils ont plutôt passé leur temps – aveuglés – à ruminer leur haine viscérale contre Gbagbo et le FPI.

Voici donc l’image de leur mentor, fragilisée, lui aussi par sa propre incompétence, rattrapé par 10 ans de coups fourrés, submergé par son pacte inique avec des assassins rebelles. Le voilà mains et pieds liés par une alliance démoniaque avec les prédateurs de l’Afrique.

A quoi bon fatiguer nos méninges à apporter, à ces personnes qui se refusent à accepter et à comprendre qu’ils sont mis à nu ? A quoi bon ? A quoi bon nous fatiguer à répondre à leurs élucubrations ?

Tout se résume pourtant en cette simple question : « A qui profite le crime ? ». Certainement à ceux pour qui, la vie humaine n’a aucun sens. A ceux qui n’ont pas hésité pour leurs ambitions iniques de s’asseoir dans le fauteuil présidentiel, à fermer les banques, à empêcher les médicaments de soigner les malades agonisants dans les lits d’hôpitaux, à ouvrir le feu sur des jeunes ivoiriens aux mains nues dans les rues… Des mauvaises langues vont jusqu’à dire que ces crimes répondent à des besoins de sacrifices humains, confirmant que nous sommes bien en Afrique, l’Afrique et ses mystères…

La Côte d’Ivoire ressemble donc à un navire qui tangue dangereusement dans des eaux maléfiques, avec aux commandes, un capitaine « maudit ».

Comme toujours, la question centrale – à ne surtout pas oublier – est la même : « Comment en sommes-nous arrivés là ? ». Comment sommes-nous – pratiquement –  parvenus à ce stade de chaos et de malheur avancé ? Car le malheur est là, sous nos yeux, dans notre quotidien : Alassane Ouattara.

Face à tout ceci : l’ivoirien est angoissé, terrifié. Il n’a plus confiance en « ses dirigeants », en « ses hommes politiques ». C’est même peu de dire qu’il est déçu. Car les nouvelles ne sont pas bonnes, non, pas du tout. Et l’avenir s’annonce ombrageux, avec en perspective des circonstances plus dramatiques encore.

Des dirigeants indignes, sensés ramener le calme, l’apaisement et la quiétude, mais qui malheureusement étalent leurs  lacunes et leur incapacité. Quoi de plus normal que le malheur s’abatte ainsi sur la Côte d’Ivoire !

Vous avez dit « solution » pour la Côte d’Ivoire ? Dites plutôt « malédictions» pour la Côte d’Ivoire.

Marc Micael La Riposte

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