Monsieur Ouattara a réussi à faire croire à certains décideurs occidentaux qu´il était l ´homme providentiel pour défendre à la fois leurs intérêts et redresser la Côte d´Ivoire. Ceux-ci, parmi lesquels Sarkozy, Obama, etc.… ont naïvement cru à cette perfidie et se sont ridiculisés en le soutenant. Pour mieux les éblouir et accomplir son forfait sans scrupule, Dramane Ouattara, en utilisant des subterfuges juridiques qui en réalité n´honorent pas la Justice ivoirienne, a réussi à séquestrer presque la totalité de l´intelligentsia ivoirienne avec une brutalité sans précédent : d´ éminents chercheurs universitaires, de brillants économistes et médecins , des journalistes, croupissent encore dans les prisons de Bouna, de Boundiali , d’Abidjan dans les sous -sols de différents services de sécurité dans des conditions atroces. Des hauts cadres ivoiriens sont morts empoisonnés, certains se sont exilés, d´autres encore se terrent de peur d´être pris et emmenés vers des destinations d´où ils ne reviendront peut être jamais.
Voilà la Côte d´Ivoire de Dramane Ouattara. Non seulement les Ivoiriens sont pris en otage, mais ils sont cruellement sous informés en même temps que la communauté internationale qui se laisse ainsi facilement abuser. Aujourd´hui, les ivoiriens sont obligés de manger le repas préparé et servi par leurs pires ennemis : l´information diffusée par les medias sous le régime Ouattara.
Le journal télévisé de la RTI n´est qu´un album photos de la famille Ouattara et de quelques ivoiriens qui ne savent plus d´où ils viennent et où ils habitent. Radio France Internationale (RFI) et France 24 avec des informations truquées intoxiquent les ivoiriens en diffusant sans vergogne des mensonges , occultant les atrocités que les Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et les dozos, commettent sur les ivoiriens à Sinfra, à Duékué , à Zagné, à Ponan-Daobly, à Ziriglo, à Sakré, à Guitrozon, à Arrah, à Sikensi, à Tai, à Ayamé, à Vavoua, à Sanegourifla et presque dans toutes les régions de notre pays, dans une impunité insolente.
Aujourd´hui, l´horreur sur les ivoiriens ayant atteint son paroxysme dans l´indifférence totale et coupable du régime Ouattara, l´armée commence à se fissurer et à se « cannibaliser ». Les attaques de Yopougon, d’Abengourou, d’Akouédo etc… contre les bases des FRCI , hâtivement attribuées aux pro-Gbagbo, ne sont en réalité , après un profond malaise, que les prémisses d´un soulèvement militaire qui peut avoir des conséquences inattendues si ce gouvernement continue à les minimiser, à narguer les ivoiriens avec un air dédaigneux .
Victor Golouzouet , militant de LIDER