Tu feras mieux que moi fils ! Mon rêve est que vous soyez tous comme moi ! Autant de petites phrases sur fond de legs que les proches de Faure disent que son papa prononçait toutes les fois qu’il était fier de voir son premier trublion, Ernest Gnassingbé, le plus craint des rejetons Gnassingbé par sa brutalité dans toute l’histoire du Togo. Timide et plus fin, Faure a plutôt lui aussi compris que la brutalité est la seule formule pour la pérennité de son pouvoir. Au Togo, la brutalité est donc héréditaire. Le père avait fait connaître ce dont il était capable dans l’art de la brutalité pendant 38 ans. Le fils est aussi dans la même veine. Alors qu’on nous avait bassiné que ; ce dernier était un corps neuf dans le bordel de rejetons que le père a laissé, le vrai visage de ce corps plutôt pourri a fini par envahir la population de son odeur pestilentielle avec sa brutalité. Et pourtant, les derniers à croire encore en Faure peuvent encore attendre. Il a été allaité par « du lait brutal » et semble aussi vouloir finir ses jours dans la brutalité. Alors qu’on appelait tous les Togolais à descendre dans les rues et manifester leur raz le bol (chose normale dans une république moderne), le fils a bien pris soins de mettre dans les maillots de ses soudards quelques grenades. L’objectif est de taille, tuer immensément les Togolais pour faire peur aux autres…
Des grenades parmi les manifestants du CST. La criminalité de Faure dévoilée.
Le chien ne change jamais sa façon de s’asseoir. Il y a une vingtaine d’années, c’est dans les mêmes conditions qu’ils avaient rectifié Tavio Amorin, stratégie que le pouvoir du fils récidive en envoyant deux gendarmes avec dans les poches des grenades et comme toujours leurs pièces d’identité comme preuves pour ce qui doutent encore que le criminel revient toujours au lieu du crime. L’objectif n’est pas de tuer ici « les Togolais manifestants » mais de laisser ces engins dangereux à côté des cerveaux du CST. Pour Faure, il n’y a aucune autre forme de défendre son pouvoir. La seule qu’il connaisse ; est la vieille recette de son père. On tue, on se réfugie au nord (Kara) et après, on annonce qu’on était pas dans la capitale (Lomé) lors des troubles. Cette criminalité qui devient de jour en jour insupportable devrait ouvrir les yeux à notre « prince national» que son temps est bien révolu. Vivement qu’il comprenne que la force brute et les bruits de bottes ne pourront plus faire fléchir le peuple togolais. Et son magasin de grenades ne pourra pas autant en contenir pour tuer tous les Togolais.
On vous a dit à Lynx.info qu’il n’est pas « intelligent » ce garçon pour diriger le Togo, nous sommes au niveau des preuves et des actes !
Taffa Biassi Lynx.info