Cela est comparable à la faiblesse de l’homme, car les vaisseaux sanguins ne font plus leur travail et le clitoris reste à l’intérieur. Les glandes ne fournissent aucune sécrétion et l’ouverture du vagin reste sèche. Elle peut participer avec son mari dans la pratique sexuelle mais sans la moindre excitation. C’est en cela qu’elle diffère de l’homme sexuellement faible.
Plus étonnant est de voir que certains croient que la femme a une capacité moins grande que l’homme d’atteindre l’orgasme, si ce n’est qu’en réalité elle est plus grande. La seule différence qu’il y a est que la femme est plus lente quant au consentement et à l’excitation sexuelle.
L’ignorance des époux et leur peu de connaissances sur la sexualité contribuent grandement à la frustration sexuelle que connaissent de nombreux gens. C’est aussi l’une des causes directes de désaccords entre mari et femme. Vu que chacun, l’homme comme la femme, a besoin de satisfaction sexuelle au sein de la relation conjugale, dont l’harmonie sexuelle aide à sa concrétisation les menant à la jouissance, il faut que le mari apprenne les caractéristiques et les spécificités de la femme, il doit bien connaître les organes érectiles et sensibles à l’excitation, car la femme ne perd pas totalement sa sensibilité, dans la majeure partie des cas. Juste qu’elle n’a pas encore trouvé le moyen de jouir.
La femme doit savoir que le remède à sa nonchalance n’est pas juste auprès de son mari, mais elle joue elle-même un rôle important. La jouissance réciproque est le point important dont il faut tenir compte. Rien n’est plus sûr pour le bonheur conjugal et la virilité de l’homme que le savoir de la femme dans l’art de l’amour. Le clitoris étant la source d’excitation sexuelle chez la femme, il est recommandé de suivre les moyens permettant son excitation directe. Le mari doit jouer avec le clitoris avec douceur un temps suffisant pour qu’il soit certain que son épouse est pleinement excitée et prête à la copulation.
Dimitri.A
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